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Anjou49
« « Désolé (c’est pas vrai) de vous contredire mais le Petit Robert et le Larousse ont fait entrer « Covid » au… MASCULIN dans leurs dernières éditions. Précision avec un C majuscule pour le Robert et une minuscule pour le Larousse.
Cela avait d’ailleurs un temps contrarier l’Académie Française qui elle penchait pour le… FÉMININ. » »
Désolé moi aussi (et c’est vrai) , mais parfois je me demande si on ne claque pas du fric pour des queues de cerises, qu’elles soient au féminin ou au masculin.
Et il existe bien d’autres secteurs qui font se poser la même question. Tellement nombreuses qu’elles se ramassent à la pelle mécanique.
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Un pouce pour cette belle réaction ! 😊
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NON le débat est clos, na. 😜😜😜
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On pourrait en débattre longuement… est-ce pertinent ?
Pour les aficionados de ce débat, ici :
https://www.radiofrance.fr/franceculture/doit-on-dire-le-ou-la-covid-19-4400357
… un débat tout fait 😊
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Désolé (c’est pas vrai) de vous contredire mais le Petit Robert et le Larousse ont fait entrer « Covid » au… MASCULIN dans leurs dernières éditions. Précision avec un C majuscule pour le Robert et une minuscule pour le Larousse.
Cela avait d’ailleurs un temps contrarier l’Académie Française qui elle penchait pour le… FÉMININ.
Message complété le 09/01/2025 17:44:16 par son auteur.
* contrarié et pas « contrarier »
Hou la honte pour le donneur de leçon que je suis… Bonnet d’âne et retourne à l’école crient les lettrés.
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Ok.
Donc la Covid n’est pas une « grosse grippe ». Tu confirmes ?
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Rollier1
« « Ah ? La grippe a fait plus de morts que la Covid ? J’attends tes chiffres … dûment vérifiés » »
Où as-tu lu cela ?
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Ah ?
La grippe a fait plus de morts que la Covid ?
J’attends tes chiffres … dûment vérifiés 😇
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Rollier1
« « Répéter à l’envi que la Covid est une « grosse grippe » n’en fait pas une vérité. » »
Répéter à l’envi le contraire n’en fait pas plus une vérité.
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Répéter à l’envi que la Covid est une « grosse grippe » n’en fait pas une vérité.
Pour rappel, la Covid a beaucoup tué, y compris dans ma famille, alors que les « grosses grippes » non.
France : 116.000 morts
REP.
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Suffit de marcher dans la rue pour voir le désastre... Une apocalypse économique et sociétale. C'est Chernobyl ce pays, comme les comptes publics. On avait vraiment les moyens de claquer 440 milliards pour une grosse grippe et d’enchaîner avec 32 milliards à Zelensky pour au final se faire ratiboiser par les russes et tout paumer (en passant pour des imbéciles en prime)
La destruction de ce triste pays est voulue , pas d'autre explications à ce cauchemar absolu.
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waine70
« « Salut mes poulets ! Quel visionnaire cet mcm !..//.. 2025 va être une année fantastique !!!!!!!! » »
Salut mon ami WaiWai.
Je n’ai jamais prétendu être un visionnaire en quoi que ce soit. J’observe, je prends le temps de réfléchir, je pèse le pour et le contre, (et je pèse aussi mes mots) ….et je donne parfois le résultat de mes cogitations.
Qui sont très pessimistes, je l’avoue ; mais, à voir la situation de la France, peut-on être optimiste ?
Je n’affirme pas, je donne mon avis. Un point c’est tout.
« « éh oui. La France va tousser, les usa vont s'enrhumer » »
Je pense tout le contraire : les usa vont avoir un orteil un peu mouillé, la France va chopper la grippe (asiatique, de préférence, la cible privilégiée pour l’instant).
Perso, je suis persuadé que la France (et ses compagnons de chaîne E.U.) , sont aux ordres des U.S. qui nous imposent leur loi, et tutti quanti. A leur seul profit.
Autrement dit : la France (qui n’est plus en capacité de produire) a-t-elle une telle sur-production pour concurrencer les U.S. au plan mondial ?
A t'elle les moyens de tout acheter (aux ricains, protection oblige ) à crédit , évidemment, au taux de X, car elle n'aura rien à proposer en contreparrie.
L’ennemi des U.S.(actuellement) c’est la Chine. Affirmation made in U.S.
SOIT !
Mais est-ce cela la très forte raison qui justifierait pour que ce soit aussi notre ennemi à nous ?
A part les injonctions US zéniennes auxquelles nous faisons allégeance ?
« « 2025 va être une année fantastique !!!!!!!! » »
Oui, je le pense aussi. Mais pas dans le même sens que toi, apparemment.
Rien , dans les domaines des finances publiques, du déficit commercial, l’appel au sociétés à venir s’installer chez nous (nous sommes les champions du monde en matière de prélèvements obligatoires, de déficit, de la non-incitation à travailler,….ce qui influe un tout petit peu sur notre compétitivité) ne pourra rétablir les comptes, n' incite à l'euphorie.
Rien ne peut éviter la France de tomber dans les griffes du FMI,....sauf à tout casser , tout ce qui concerne le social (nos protections sociales), la gouvernance, à voler les épargnants vertueux, à abandonner des jours fériés, à travailler plus longtemps, à accepter la baisse des salaires, etc….
Les entreprises, les « cerveaux », les « premiers de la classe » , son plus enclins à s’expatrier qu’à s’implanter ;
Donc, selon moi, selon mon analyse de la situation de la France, selon ce qui se dessine au plan mondial, on ne peut que subir une violente crise économique, sociale, etc…
Qui peut croire que l’on pourra surmonter une dette de 3 303 milliards ? Alors que nous ne produisons presque plus rien ?
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Salut mes poulets !!!
Quel visionnaire cet mcm !
"D’autres disent tout le contraire : tout va très bien en France. Et la Chine va très mal, qu’y disent aussi."
éh oui. La France va tousser, les usa vont s'enrhumer et la Chine par a coup va attraper la grippe aviaire ce qui va définitivement sabrer l'économie mondiale ...?...
2025 va être une année fantastique !!!!!!!!
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Dubaisan
« « "Un tsunami entrepreneurial frappe la France" ..//..Rien d'étonnant pourtant, c'était largement anticipable. » »
Je ne cesse de vous le dire.
D’autres disent tout le contraire : tout va très bien en France. Et la Chine va très mal, qu’y disent aussi.
Une sévère récession va frapper tout le monde, sauf l’Inde et un peu la Chine. Et peut-être les U.S. ?
Le bonnet d’âne sera, ça devient une coûtume, pour la France.
Depuis la crise Covid.
Un trou de production de 2 mois, ça ne se bouche pas d’un claquement de doigt.
Les aides – prêts garantis, différer les charges, etc….n’ont eu qu’un impact positif le temps d’un éclair.
Les entreprises n’ont pas pu reconstituer leur trésorerie (faire du chiffre de 2 mois en un seul), et les « cadeaux » du GVT doivent être remboursés.
A ceci se rajoute l’inflation , entretenue pour faire rentrer un peu de « pézètes » dans les caisse de l’état, et des mesures ineptes imposées par l’état et Bruxelles.
Il manque déjà beaucoup de briques au mur des faillites. (sacré Nono, va…)
2025, (et 26 à 30 je le crains) malgré les « bonnes année » en veux-tu en voila, sera très mauvaise. Pour tout le monde : salariés, chômeurs, entreprises, retraités,….sauf pour les politicons (à moins qu’on aille les chercher par la peau du cul)
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"Un tsunami entrepreneurial frappe la France"
L'image est éloquente...
Rien d'étonnant pourtant, c'était largement anticipable. Le "quoi qu'il en coûte" va se payer ...à partir de maintenant et très cher!
Mais la Bourse s'en tape, qui ne réagit qu'aux bruits venant d'outre Atlantique. Là aussi, ça se paiera et bientôt.
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Un tsunami entrepreneurial frappe la France : 66 422 entreprises ont défailli en 2024, menaçant 260 000 emplois. Le pire pourrait être encore à venir en 2025.
L'année 2024 restera gravée dans les annales économiques comme l’une des plus sombres depuis 2009. Selon les données du groupe BPCE, 66 422 entreprises françaises ont fait défaut, un niveau jamais atteint en 15 ans. Ce chiffre, qui représente une augmentation de 28 % par rapport à 2019, témoigne d'une crise économique qui s'est amplifiée après les turbulences liées au Covid, à l'inflation et au renchérissement du crédit.
Le tissu entrepreneurial français est durement touché, en particulier les PME et ETI. Les défaillances dans ces catégories ont bondi de 51 % par rapport à 2019, touchant 5 265 entreprises. Parmi elles, les sociétés de plus de 100 salariés ont vu leurs défaillances exploser de 57 %, un signal d'alerte qui inquiète les experts économiques.
Le directeur des études économiques du groupe BPCE, Alain Tourdjman, a qualifié cette situation de « grave » en raison de la concentration des défaillances sur des structures habituellement plus résilientes. Ces entreprises représentent un pilier de l’économie française, mais les taux d'intérêt élevés et la faiblesse de la demande domestique ont lourdement pesé sur leur activité.
L’impact social est considérable : 260 000 emplois se sont retrouvés sous la menace d'une procédure collective en 2024. Toutefois, comme le montre la reprise récente de l'enseigne Naf Naf par le groupe turc Migiboy Tekstil, certaines entreprises parviennent à se relancer. En 2024, cette acquisition a permis de sauvegarder 521 emplois, prouvant que toutes les faillites ne mènent pas à la disparition totale des sociétés.
Entre 2020 et 2022, la politique du « quoi qu’il en coûte » avait permis de maintenir les entreprises à flot. Cependant, avec la fin des aides d’État, les prêts garantis par l'État (PGE) sont devenus un poids difficilement supportable pour de nombreuses entreprises. En outre, l'Urssaf, qui avait temporairement assoupli ses procédures, a repris un rythme normal d'assignations, compliquant davantage la situation des entrepreneurs.
Les secteurs de la construction et de l’immobilier figurent parmi les plus touchés, en raison de l'augmentation des coûts du crédit. Le transport-entreposage et les services aux entreprises ont également contribué à l’hécatombe, reflétant les défis structurels auxquels ces industries font face.
En revanche, les entreprises créées il y a moins de trois ans ont été relativement épargnées, représentant seulement 18 % des défaillances. Les entrepreneurs individuels, souvent considérés comme vulnérables, semblent également avoir mieux résisté.
Les prévisions pour 2025 ne laissent guère d’espoir. Selon BPCE, le nombre de défaillances pourrait atteindre 68 000, soit une augmentation de 2 % par rapport à 2024. L'impact de cette nouvelle vague se propagerait des PME et ETI vers leurs petits sous-traitants, exacerbant ainsi la fragilité de tout l’écosystème entrepreneurial. Une amélioration de la situation n'est envisagée qu’en fin d’année 2025 ou au début de 2026.
Par ailleurs, les incertitudes politiques et économiques continuent de peser sur les décisions des chefs d’entreprise. En 2024, les investissements ont connu un net recul, et les marges des entreprises restent plus contraintes que la moyenne. Selon Julien Laugier, économiste chez BPCE, même les entreprises d’une taille critique ne sont plus épargnées, mettant en lumière une fragilité généralisée du tissu économique français.
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