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Je répète: supprimons les aides, augmentons les salaires.
+10000^10000; Il faut supprimer toutes les aides sociales et économiques, rendre tous les services publics payants et exiger de toute collectivité publique d'avoir des budgets à l'équilibre.
Les impôts ne doivent servir qu'au strict régalien (Intérieur, Justice, Armées, Affaires Etrangères, Trésor Public), à rembourser la dette et aux investissements.
Milei l'a fait.
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Kerplouc
« « Un(e) smicard(e) gagne moins au final que quelqu'un aux minima sociaux. Alors, sans jalousie, supprimons aussi les minima sociaux et augmentons les salaires. ..//... Je répète: supprimons les aides, augmentons les salaires. » »
Simple question à la con, comme d’habitude avec moi.
Et si, au lieu de nous déchirer, voire insulter, sur tous ces sujets, nous allions chercher les vrais responsables ?
Ceux qui sont sensés assurer le bien-être des citoyens.
Parce qu’enfin, lequel d’entre nous est responsable de la désindustrialisation du pays ? Qui a fait de la France – surtaxée et sur-normalisée - un repoussoir à investisseurs ? qui a fait de la France le pays le plus endetté du monde ? Alors que les autres pays E.U., ayant subi covid , inflation et conflit Ukraine/Russie au même titre que nous, s’en sortent beaucoup mieux .
Qui ? qui ? , qui ?.....Qui gagne à vie des milliers d’euros par mois (et non pas le minimal social) à ne rien faire, après avoir occupé piètrement, quelques mois, un poste ministériel .
Les chômeurs ? Les dits « assistés » ? Les contribuables ? Les épargnants ? Les smicards ? La "moyenne classe" ?
A votre avis : à qui faut-il aller secouer les puces ?
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ce qui change c'est que rien ne change
on ne règle pas un problème avec celui qui l'a créé, il faut se débarrasser de l'oligarchie avant de devenir comme l'Ukraine
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Un(e) smicard(e) gagne moins au final que quelqu'un aux minima sociaux. Alors, sans jalousie, supprimons aussi les minima sociaux et augmentons les salaires. C'est mieux de vivre bien d'un salaire que de vivre tout aussi bien, voir mieux, de dons, d'aumônes, d'allocations et de 'minima'. Je suis peut-être d'un autre millénaire, mais je trouve qu'il est plus satisfaisant de vivre de son travail que de l'aumône nationale. Je répète: supprimons les aides, augmentons les salaires.
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T'as qu'à te mettre aux minimas sociaux si t'es jaloux
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Le 1er décembre ne sera pas un simple changement de mois, mais le déclencheur d'une série de nouveautés qui toucheront directement le quotidien des Français. De la hausse des consultations médicales à l'augmentation des prix du gaz, en passant par la fin de certaines aides régionales, décembre s’annonce riche en évolutions, souvent marquées par des ajustements économiques. Zoom sur les changements qui marqueront ce mois de fin d’année.
La consultation chez le médecin généraliste subira une augmentation importante à partir du 1er décembre 2024. En effet, le tarif passera de 26,50 euros à 30 euros pour les adultes, et pour les enfants de moins de 6 ans, la consultation coûtera désormais 35 euros, contre 31,50 euros aujourd'hui. Cette réévaluation des tarifs fait suite à un accord signé en juin 2024 entre l'Assurance Maladie et les médecins libéraux. Les consultations spécialisées, comme celles chez les pédiatres, gériatres, psychiatres ou neurologues, verront également leurs prix augmenter.
Les nouvelles modalités de tarification font écho à l’objectif de récompenser la qualité des soins tout en répondant aux défis économiques de la profession. Les spécialistes devront ajuster leurs prix dans cette même optique, ce qui pourrait avoir des conséquences sur l’accessibilité des soins pour certains patients.
Le gaz, une dépense incontournable pour de nombreux foyers français, continuera de grimper en décembre 2024. Selon la Commission de régulation de l'énergie (CRE), le prix du gaz augmentera en moyenne de 2,5 % pour ce mois-ci, soit la sixième hausse de l’année. Cette augmentation concerne surtout le prix du kWh utilisé pour le chauffage, qui passera de 0,1093 à 0,1124 euros, soit une hausse de 2,8 %.
Les foyers devront donc se préparer à des factures plus salées à l'approche de l'hiver, une situation qui risque de peser lourdement sur le pouvoir d’achat des Français, déjà affecté par une année marquée par plusieurs hausses de prix dans différents secteurs.
Les résidents d’Île-de-France devront également dire adieu à une aide précieuse pour l’achat d’un véhicule écologique. Ce dispositif, qui permettait de bénéficier d’une aide pouvant atteindre 9.000 euros, prendra fin à compter du 1er décembre 2024. Il concernait notamment les départements de la Seine-et-Marne, des Yvelines, de l’Essonne et du Val-d'Oise, excluant certaines grandes communes comme Argenteuil ou Athis-Mons.
La suppression de cette aide, liée au revenu fiscal de référence des foyers, s’inscrit dans un contexte de réajustement des politiques environnementales et des financements publics, après plusieurs années d’incitations à la transition énergétique.
Enfin, pour apporter un peu de réconfort en cette période de fêtes, la Prime de Noël sera versée le 17 décembre 2024. Cette aide exceptionnelle, destinée aux bénéficiaires de certains minima sociaux comme le RSA ou l’allocation de solidarité spécifique, offrira un soutien financier aux foyers les plus modestes, avec un montant minimal de 152,45 euros. En 2023, plus de 2,2 millions de ménages en ont bénéficié, et cette année encore, elle sera versée automatiquement par les organismes sociaux tels que la Cnaf ou la MSA.
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