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@ moicmoi…
Je note : "Quand nous serons à poil ?"
… à Mazout!
Bon, ça fait pas l'affaire des escrologistes…
; )
Attirer la foudre sur l'eau en bouteille permet habilement de détourner les "infos-merdias" de la pollution des nappes phréatiques et de tous les composés présents toxiques très rémanents dont on ne recherche que très peu la présence…
C'est du même acabit que la Taxation du Gaz au lieu de l'électrique…
Le grand bonnneto de Jupi-raz-de-terre, jeteur de foudre économique continue pendant la liquidation du barnum…
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JCLAUDIO
« « une mesure idiote qui contribuera a réduire le pouvoir d'achat. » »
Pas si idiote que ça, puisque , justement, l’objectif de l’E.U. – phagocytée par les verts et aidé en cela par les croupions-membres - , est de réduire le pouvoir d'achat.
Quand se rendra t’on compte que l’éscrologie nous coûte des fortunes, prises évidemment sur nos impôts ? Quand nous serons à poil ?
La suite du programme E.U. est de supprimer nos acquis sociaux, (pour les passer dans le privé) , de supprimer de jours de congés et fériés, de baisser les salaires , avec l’Euro dont la seule façon de dévaluer notre monnaie à l’intérieur de la zone euro….. de s’aligner sur les croupions-membres les plus pauvres
Larcher propose t’il la suppression de 75% des parlementaires ? Et un gros coup de tronçonneuse sur leurs privilèges ?
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Justement au sujet des sénateurs…
Publié récemment : "Gérard Larcher, président du Sénat, a refusé de dévoiler le montant de sa retraite. Mais, selon Médiapart, celle-ci pourrait atteindre près de 10 000 euros par mois, alimentant le débat sur les pensions des élus."
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Une mesure choc pour l’environnement. Le Sénat a voté, dans la nuit du 27 au 28 novembre, un amendement controversé visant à augmenter la TVA sur les eaux en bouteille plastique de 5,5 % à 20 %. Ce changement, décidé dans le cadre du budget 2025, s’inscrit dans une volonté d’encourager les consommateurs à privilégier l’eau du robinet, tout en répondant à des préoccupations écologiques et sanitaires. Une décision portée par le scandale des eaux traitées de Nestlé Waters et un contexte de débat sur l’impact environnemental du plastique.
Le vote intervient après des révélations en janvier 2024 sur les pratiques de la filiale Nestlé Waters, qui auraient eu recours à des procédés de désinfection interdits pour certaines de leurs marques phares (Perrier, Vittel, Contrex). Ce scandale a déclenché des enquêtes parlementaires et suscité une réflexion sur la responsabilité des entreprises dans la gestion des ressources naturelles.
Selon Raphaël Daubet, sénateur du groupe RDSE, cette affaire a souligné la nécessité d’encourager des solutions alternatives, comme l’eau du robinet :
« Augmenter la TVA sur les bouteilles en plastique à 20 % vise à encourager le consommateur à privilégier l’eau du robinet, une solution économique et écologique. »
Cet amendement, porté par la sénatrice Renaissance Nadège Havet, met en avant l’impact environnemental du plastique, rappelant que les émissions carbone associées à l’eau en bouteille sont 2.023 fois supérieures à celles de l’eau du robinet. La sénatrice précise que cette augmentation pourrait rapporter entre 150 et 300 millions d’euros par an, avec des propositions pour réinvestir ces fonds dans des initiatives telles que :
L’amendement épargne cependant les eaux en bouteille vendues dans les territoires d’outre-mer, où l’accès à l’eau potable au robinet est encore insuffisant.
Malgré le soutien d’une large majorité des sénateurs, cette mesure a été critiquée par le gouvernement. Laurent Saint-Martin, ministre des Comptes publics, a exprimé son désaccord, affirmant que : « La TVA n’est pas un outil fiscal incitatif. »
Il a également souligné que cette hausse pourrait avoir des conséquences sociales, notamment pour les ménages modestes qui consomment ces produits par manque d’alternatives de qualité
Alors que les sénateurs pressent pour adopter cette mesure, le recours probable au 49.3 par le gouvernement pour valider le budget 2025 pourrait remettre en question son intégration dans le texte final. Si cette hausse est maintenue, elle pourrait marquer un tournant dans la fiscalité écologique en France, impactant à la fois les géants de l’agroalimentaire et les consommateurs.
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