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Par contre, on reparle- chez les sénateurs - sérieusement de « holduper » les assurances-vie.. Donc, on lance par contrat un produit d’épargne , et quelques temps plus tard, et rétro activement, on en modifie les règles, pour nous faire payer les conneries des Gvt. Méthode maffieuse.
Autrement dit, la parole de l’état ne vaut pas plus qu’une parole de pute :
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Pour l'électricité, ils ont divisé par 2 la prime des véhicules électriques…
Ce qui revient a dire en gros :
• que la Prime Ancienne version "Véhicule Electrique" a enrichi les "riches BOBO" = ceux qui ont pu acheter une voiture électrique
• que la Prime Nouvelle version "Véhicule Electrique" va appauvrir les pauvres = ceux qui "doivent" une voiture électrique car si ils n'avaient déjà pas les moyens, ils vont encore moins les avoir en ayant plus 3000€ de plus à débourser…
Le tout électrique a déjà du plomb dans l'aile, il convenait de temporiser selon le sénat…
Et quid des constructions d'EPR ? Forcement déjà la Suisse ne vaut pas lâcher plus d'eau dans le Rhône donc l'EPR Bugey a déjà pris l'eau…
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C'est logique ils ne peuvent pas augmenter la taxation sur l'électricité tant que nous ne sommes pas tous équipés d'une voiture électrique et d'une pompe à chaleur.
Après OUI, il faudra bien compenser les pertes de revenu sur les taxes sur le Fuel et le carburant
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« « Le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, a exprimé son opposition à ce rééquilibrage, soulignant les efforts de l’exécutif pour maintenir les factures d’électricité basses. » »
Ben voyons. Il a vu ça où , l’électricité peu chère ?
A quand une sortie du Marché Européen de l’Electricité ? qui ramènerait un prix de d’électricité à bon prix.?
Les nouveaux sont toujours aussi hors-sol, menteurs, que les anciens.
A quand la réduction (75%) du nombre des parlementaires, des avantages à vie des anciens présidents , 1er ministres et Intérieur (4 M€/an), des comités bidules , du nombre de ministères ?
A quand la redéfinition du statut de fonctionnaire ?
A quand l'ajustement du budget au nécessités du moment ? (la trahison écologique nous coute une fortune pour un résultat nul)
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Coup dur pour le gouvernement : le Sénat a rejeté, mardi 26 novembre, une mesure phare du projet de loi de finances 2025. Cette disposition prévoyait une augmentation de la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur à celui d’avant la crise énergétique, mesure par laquelle l’exécutif espérait récolter plus de trois milliards d’euros. À l’inverse, les sénateurs ont opté pour un relèvement de la taxe sur le gaz, estimé à rapporter 1,2 milliard d’euros.
Le vote, réalisé à main levée, a bénéficié du soutien d’élus de droite comme de gauche, reflétant un large consensus contre cette mesure jugée « socialement injuste ». Le sénateur socialiste Thierry Cozic a critiqué la stratégie gouvernementale, accusant ce dernier d’avoir choisi « la facilité pour trouver de nouvelles recettes : taxer à nouveau l’électricité ».
De son côté, Jean-François Husson, rapporteur général Les Républicains, a plaidé pour favoriser l’électricité, énergie décarbonée, en augmentant à la place la fiscalité sur le gaz. Cependant, cette décision aura un impact direct sur les ménages, la facture pour une maison chauffée au gaz augmentant d’environ 60 euros par an, tandis que l’alternative gouvernementale aurait coûté entre 200 et 300 euros pour les foyers chauffés à l’électricité.
Le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, a exprimé son opposition à ce rééquilibrage, soulignant les efforts de l’exécutif pour maintenir les factures d’électricité basses. « Nous préférons une augmentation de la TICFE (taxe sur l’électricité) avec un maintien de la baisse de la facture d’électricité ; à une hausse de la taxe sur le gaz qui augmenterait de facto la facture de nos concitoyens », a-t-il déclaré.
Cette baisse promise de 9 % dès le 1er février 2025 pour 80 % des Français est rendue possible par la baisse des prix de gros de l’électricité sur les marchés. Le gouvernement souhaitait ainsi relever la fiscalité de l’électricité tout en préservant l’avantage pour les consommateurs.
Ce rejet marque un nouvel obstacle pour l’exécutif dirigé par le Premier ministre Michel Barnier, déjà sous pression à l’Assemblée nationale. Une coalition des oppositions, incluant la droite et le Rassemblement national, avait également rejeté la mesure sur la fiscalité de l’électricité lors de son examen à la chambre basse. Ce climat tendu alimente les rumeurs d’une motion de censure imminente, plaçant le gouvernement dans une position de plus en plus fragile.
Les impacts sur les ménages : électricité contre gaz
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