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Et c’est pas peu dire. Dans un reportage sur les engagés volontaires en Russie, un jeune homme d’une vingtaine d’années, face caméra, raconte son engagement dans l’armée pour un salaire de 2000 euros mensuels alors qu’il ne gagnait que 200 euros (10 fois mois) dans le civil.
La guerre comme gagne pain lucratif. Ça en dit long sur la jeunesse gavée de jeux vidéos plus violents les uns que les autres et qui ne distingue peut-être plus la différence entre réel et virtuel.
Celui-là en tout cas va vite comprendre…
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Cette étude dit que les jeunes ont compris que l'argent était absolument nécessaire pour pouvoir avoir accès à des activités, produits, qui leur apportent du bonheur.
C'est déjà une amélioration avec une génération de mous, léthargiques qui vivaient au ralenti avec rien.
Mais cette étude ne dit absolument pas quels sont les efforts que les jeunes sont prêts à faire pour obtenir cet argent.
Je me souviens trop de la dernière campagne de recrutement que j'ai faite il y a deux ans, pendant laquelle la grande majorité des jeunes ne me posaient que très peu ou pas de questions sur le poste mais me posaient moultes questions sur les avantages sociaux (chèques vacances, chèques déjeuner, voiture de fonction), sur les vacances, sur les RTT, sur le télétravail, sur le salaire bien sûr, sur la vitesse à laquelle leur salaire allait progresser, etc.
Ils aiment l'argent mais il faudrait qu'il tombe du ciel, sans donner de leur personne.
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Hi hi
16 a 24 ans ... l'argent fait le bonheur...
ils vont vite dechanter quant ils vont commencer à travailler et que le premier salaire va tomber ....
puis au remplissage de la 1ere fiche d'imposition
puis au paiement du loyer, de l'elec, du gaz, de l'iphone dernier cri...
merde reste plus rien à la fin du mois ...
patron ! je veux plus de sous ...
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L’argent fait-il vraiment le bonheur ? Chez la Génération Z, la réponse est un "oui" assumé. Une étude récente révèle que les jeunes Français de 16 à 24 ans brisent les stéréotypes : optimistes, confiants, et profondément décomplexés face à l’argent, ils redéfinissent les codes de la réussite.
Contrairement à l'image souvent dépeinte d’une génération inquiète, les jeunes Français affichent une sérénité surprenante. Selon l'Observatoire du sens de l’argent, mené par Crédit Coopératif et Viavoice en partenariat avec l’ESCP, 80% des 16-24 ans se disent heureux, dépassant la moyenne nationale de 75%.
Cette sérénité s’accompagne d’un regard positif sur l’avenir : 71% des jeunes envisagent leur futur avec optimisme, un contraste frappant avec les générations plus âgées. Ce sentiment s'étend même à des sujets sociétaux, avec 37% de jeunes confiants dans l’avenir de la société et de la planète, un chiffre supérieur de 11 points par rapport à la moyenne nationale.
En matière de finances, leur assurance est encore plus marquée : 62% des jeunes se disent confiants dans leur avenir financier, en nette opposition aux 46% des générations plus âgées. Cette confiance reflète une conviction forte : 69% d’entre eux pensent pouvoir influencer la société grâce à leurs choix de consommation, et 64% croient en leur capacité à apporter des changements via leur engagement politique.
Pour cette génération, l’argent n’est pas seulement un moyen de subsistance, mais un vecteur de bonheur et de réussite. Près de 69% associent l’argent au bonheur, un chiffre supérieur de 9 points à celui des générations précédentes. Ils sont également 76% à considérer que réussir sa vie implique une réussite financière, une vision plus pragmatique que leurs aînés (62%).
Cependant, cette approche n’exclut pas une dimension éthique : 77% des jeunes affirment que leurs valeurs influencent leur gestion de l’argent, et 65% privilégient les achats alignés avec leurs principes personnels. Cette génération, décomplexée face à la richesse, voit dans l’argent une opportunité d’agir sur des enjeux sociétaux et environnementaux.
La Génération Z incarne un refus du fatalisme. Pour eux, la réussite financière ne se limite pas à leur bien-être personnel. Ils perçoivent leur comportement financier comme un levier de transformation sociétale. Que ce soit par leurs choix de consommation ou leur engagement quotidien, ces jeunes souhaitent bâtir un monde où prospérité rime avec responsabilité.
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