Lorsque cette méga-bulle éclatera, ce sera spectaculaire

Oui, c'est ça.

faut presque faire l'inverse...

Goldman Sachs parle d'un début de " Rally".

Il y a quelques semaines,.il annonçait une baisse forte (!), juste avant l'effet Trump.

je ne sais pas ce qui sera pris comme élément déclencheur mais on va avoir entre janvier et Avril une baisse qui va emmener le DJ dans la zone des 296xx, apres la cause ... surement du blabla pour rapidement remonté derrière , mais c'est le scenario qui je pressent !

Encore un qui n' a rien compris

il va y en avoir pleins les murs !

Alors que les marchés ont déjà largement reculé depuis les sommets atteints face à l’élection de Donald Trump, certains craignent que la correction ne s’aggrave pour se transformer en un véritable krach boursier.

Dans des notes adressées à ses clients ce mois-ci, le fondateur de Rosenberg Research, qui avait annoncé la récession de 2008, a à ce propos prévenu que le marché était surévalué et que les investisseurs risquaient gros.

« C'est la mère de tous les marchés boursiers axés sur l'élan », a-t-il écrit dans une note datée du 9 octobre.

« Lorsque cette méga-bulle éclatera, ce sera spectaculaire », a-t-il ajouté le 18 octobre. « Ce n'est pas le moment de courir après l'élan ou la mentalité de troupeau » avait-il ajouté.

M. Rosenberg a indiqué que ses perspectives baissières s'appuient sur trois principaux facteurs : le positionnement des actions, les valorisations du marché et le sentiment des investisseurs.

Selon Rosenberg, le S&P 500 est au moins 25 % plus élevé que ce que les fondamentaux suggèrent.

« Les prix ont dépassé la croissance des bénéfices au cours de l'année écoulée et s'il s'agissait d'un rallye classique axé sur les bénéfices, le S&P 500 se situerait aux alentours de 4 600, et non à 5 751 », a déclaré M. Rosenberg dans la note du 9 octobre.
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« De plus, les révisions des bénéfices par action par les analystes ont été carrément orientées à la baisse » a-t-il ajouté.

La Réserve fédérale a commencé à prendre des mesures pour éviter un nouveau ralentissement en réduisant les taux d'intérêt de 50 points de base en septembre. Mais on ne sait toujours pas si l'économie est au début d'un nouveau cycle économique ou si elle va plier sous le poids des taux élevés et plonger dans la récession.

M. Rosenberg pense que ce dernier scénario est le plus probable, et a donc mis en garde les investisseurs contre les placements à ce stade du marché haussier, après un rallye aussi agressif au cours des deux dernières années.

« Gérer de l'argent signifie, à tout moment, préserver le capital tout en profitant d'une partie de la hausse », écrit Rosenberg dans sa note du 18 octobre.

« J.P. Morgan aurait dit un jour qu'il s'était enrichi non pas en achetant au plus bas et en vendant au plus haut, mais plutôt en étant impliqué dans les 60 % du marché haussier qui se trouvaient au milieu. Nous avons largement dépassé ce stade » a-t-il conclu.

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A méditer