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Es-ce que la Chine est capable de produire si l'occident n'achète leur merde ?
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@Alez
« « Question : que ce que l'industrie française est capable de produire sans l'aide de la Chine. » »
Oui, ....peut-être. Mais produire est une chose, et vendre est tout autre chose.
Mais à quel prix de vente ? Avec quels outils ? Elle n’a pratiquement plus aucune industrie, à part le tourisme, et est en train de détruire la filière BTP.
Avec quelles Matières Premières ? (le peu de M P qu’elle possède encore est sans cesse en but aux combats des écolos et des syndicats politisés), des délais administratifs, et des contraintes normatives.
Donc, sans l'aide de la Chine,… peut-être, ….mais sûrement pas sans l'aide de l’état Français, à coup de subventions qui pour la plupart bénéficient au pays étrangers,- dont la Chine, (donc nos impots) .
Des exemples ? la voiture électrique, les Energies renouvelables, les Giga factories de batteries, ….
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@ Alez,
La réponse est clairement: Non
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Question : que ce que l'industrie française est capable de produire sans l'aide de la Chine.
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roulenmo
« « Le prix a la pompe toujours plus haut grâce au gouvernement alors ..//.. d'en découvrir en antartique une quantité phénoménale. » »
Pas faux , mais on aura tous compris que la plupart des Gvt roulent (sont soumis) pour les lobbies verts , anti-nucléaire , anti-pétrole, anti-social, pour nous obliger à passer à des « machins » non rentables, à des « machins » non fiables, en dehors de toute réflexion économique, en dehors de toute réflexion sur l’impact sur les conditions de vie des peuples.
Le filon des taxes vertes ouvre une voie royales acceptée par les gogos.
Faut-il rappeler tous les combats nuisibles menés par les écolos ?
« « alors qu'ils existe d'énorme réserves partout dans le monde,les Russes viennent d'en découvrir en antartique une quantité phénoménale » »
Au-delà cette découverte en Antartique, il en existe beaucoup d’autres de-ci de-là, et , par principe, les gisements qui ne sont pas découverts à ce jour, mais qui ne sont pas inexistants pour autant.
Et qui plus est, les méthodes de recherches et d’extraction ne sont pas restées à la traîne.
Ce qui n’empêche par les écolos, hostiles aux sociétés, au bien-être des peuples et au progrès, d’annoncer depuis des décennies la fin du pétrole.
Par extension, retour au « vivre dans les abris sous roche » et au statut de chasseurs-cueilleurs.
Qu’importe les vies humaines, protégeons les petites fleurs et les petits insectes !
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Le prix a la pompe toujours plus haut grâce au gouvernement alors qu'ils existe d'énorme réserves partout dans le monde,les Russes viennent d'en découvrir en antartique une quantité phénoménale.
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Rien de plus polluant que des batteries, cette escroquerie aura une fin c'est évident mais les dégats industriels commis entre-temps seront colossaux, notamment pour nous
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Je suis moi aussi persuadé que l'électrique pour les véhicules n'est qu'un passage.
Il y a trop de problèmes avec le stockage de cette électricité : batterie polluante (fabrication, recyclage), lourde, peu d'autonomie, recharge trop lente ou trop chère.
L'hydrogène sera t'il la solution ?
L'avenir nous le dira.
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Message complété le 16/05/2024 12:27:55 par son auteur.
on ne refait pas 120 ans d'industrie automobile fiable,par des copieurs qui nous leurre avec des batteries polluantes qui prennent feu.
passons à l'hydrogène qui est le seul avenir sérieux pour la planète.
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9000 euros la production d'un véhicule chinois, voire moins, bien intéressant ton décompte que je découvre, mais comment ne pas tomber de l'armoire à voir le massacre industriel qui s'annonce et le tout financé par l'argent des français en partie, comme si nos impôts ne pouvaient pas être mieux utilisés que pour financer des batteries et une mort annoncée d'un secteur inféodé aux politiques comme jamais
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La TO3 sera vendue en France aux alentours de 20000€.
Sur ces 20000€ la voiture "fabriquée en France" bénéficiera d'une prime de 6000 €
Prix en Chine TTC entre 45000 et 75000 rmb (de 5754 à 9590€) selon les versions.
Donc coût de revient maximum en Chine = de 2877 à 4795€.....
Pour peu que la voiture soit pré-assemblé partiellement en Chine, le coût de revient de la part de "fabrication" de Stellantis sera fortement allégé et le coût final de revient ne devrait pas dépasser les 8000€....Rajoutons 25% de coût de commercialisation => Coût de Revient Final = 10000€
La marge 20000€-10000€ soit 10000€ sera partagé par les 2 entreprises 51% pour Stellantis et 49% pour Leapmotor qui pourra écouler sans problèmes ses produits en France.
Renault s'est associé à Geely (mais c'est assez flou)
Les allemands Wolkswagen font pareil avec Xpeng et SAIC, les autres: (Mercedes, Audi, Porsche ) se bousculent au portillon des derniers constructeurs auto chinois...
Et c'est sans compter BYD et ses gigafactory en construction en Espagne et en Hongrie...
La Commission européenne va surtaxer quoi?
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Ils se tirent une balle dans le pied, on est en train de refaire en fois dix la catastrophe des panneaux solaires
pauvre france, pauvre europe
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Le constructeur automobile Stellantis va ouvrir les portes de l'Europe à son partenaire chinois Leapmotor, pour mieux se positionner sur le secteur des voitures électriques à prix plancher.
La coentreprise formée par le géant de l'automobile Stellantis et la start-up chinoise Leapmotor va livrer ses premières voitures électriques au marché européen en septembre, ont indiqué ses dirigeants mardi.
Le groupe italo-franco-américain avait levé le pied en Chine après plusieurs déconvenues sur le premier marché automobile mondial avec ses grandes marques.
Mais le groupe de Carlos Tavares a finalement préféré prendre les devants face aux constructeurs de véhicules électriques chinois comme BYD ou MG, et "faire partie de l'offensive plutôt que d'en être une victime", avait expliqué le dirigeant fin 2023.
Stellantis a acquis 20% de la prometteuse start-up chinoise Leapmotor, encore inconnue en Europe, bien qu'elle vende 10.000 voitures par mois en Chine.
Les deux partenaires ont fondé une coentreprise produisant des véhicules électriques pour l'international, qui livrera ses véhicules à partir de septembre en France, Italie, Belgique, Allemagne, Espagne ou aux Pays-Bas.
Cette coentreprise "nous permet d'accélérer la mise sur le marché de véhicules électriques intelligents et abordables", a déclaré Carlos Tavares lors d'une conférence de presse conjointe à Hangzhou (est), ville d'origine de Leapmotor.
- Entrée de gamme -
Deux modèles inaugurent l'offre: la petite T03, avec son autonomie limitée de 265 kilomètres, et le plus classique SUV C10. Deux berlines et deux SUV devraient suivre dans les prochaines années.
La T03 devrait ouvrir la gamme de Stellantis, en étant moins chère que la nouvelle Citroën C3 (fabriquée en Slovaquie), soit moins de 23.000 euros (hors bonus), a confirmé M. Tavares.
Outre ses concurrentes fabriquées en Chine comme la Dacia Spring, la petite Leapmotor affronterait ainsi la future Renault Twingo ou la Tesla d'entrée de gamme.
"Nous allons pouvoir apporter plus rapidement sur nos marchés des véhicules électriques abordables qui contribueront non seulement à la croissance rentable de Leapmotor, à la croissance rentable de Stellantis (...), mais qui contribueront aussi plus rapidement et plus efficacement à la résolution du problème du réchauffement climatique que nous devons résoudre", a relevé M. Tavares.
Les deux modèles Leapmotor devraient être en vente dans 200 concessions de Stellantis et de partenaires d'ici la fin 2024, et 500 sites en 2026, aux côtés de Citröen, Peugeot, Jeep ou Alfa Romeo, certaines des autres marques du groupe.
Leapmotor compte étendre ensuite son activités au Moyen-Orient, en Afrique, à l'Amérique du Sud et à l'Inde, autres cibles prioritaire de Stellantis, ainsi qu'à la région Asie-Pacifique.
- Produire en Europe -
L'offre pourrait être massive: Leapmotor dispose d'une capacité de 800.000 véhicules par an, pour une production de 143.000 unités en 2023.
Un lancement sur le marché nord-américain, le principal pour Stellantis, dépendra de l'attitude de l'administration américaine face aux constructeurs chinois, a indiqué M. Tavares, alors que Washington a annoncé mardi une forte augmentation des droits de douane sur les véhicules chinois.
De son côté, l'Union européenne a intensifié ses efforts pour défendre l'industrie automobile européenne contre la concurrence croissante de la Chine et des États-Unis. Bruxelles a ouvert en septembre 2023 une enquête sur les subventions accordées par la Chine à son secteur des véhicules électriques, accusant Pékin de fausser la concurrence.
Pour sauter ces barrières, Leapmotor envisage de produire à terme des véhicules en Europe, à l'image de BYD qui a annoncé la construction d'une usine en Hongrie, ou dernièrement Chery en Espagne. Cela rendrait ses véhicules éligibles au bonus à l'achat en France, essentiels pour rendre l'électrique accessible aux automobilistes des classes moyennes.
Si la Pologne est pressentie, selon des médias, Stellantis choisira le site selon des critères de "compétitivité", a souligné M. Tavares.
Selon Zhu Jiangming, fondateur de Leapmotor, la coentreprise pourrait aider l'entreprise chinoise à faire face à "l'incertitude politique et régionale". "Grâce aux atouts de Stellantis, un plus un fera certainement plus que deux", a déclaré M. Zhu.
© 2024 AFP
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