Ventes en hausse, acquisitions clés, poulet plébiscité : Un 1er trimestre record pour LDC

Actualité publiée le 04/07/25 08:50

Porté par la passion des Français pour la volaille, LDC signe un premier trimestre record, avec une envolée de ses ventes et des perspectives ambitieuses.

LDC démarre son année d'une belle manière avec la publication d’un chiffre d'affaires de 1 517,7 M€, en hausse de +10,9% au 1er trimestre 2025/2026 (dont +4,1% en organique).

Sur le marché français, qui pèse 69 % des revenus du groupe, les ventes de volaille de LDC ont atteint 1,16 milliard d’euros, en hausse de 5,5 %. Cette progression repose principalement sur la bonne tenue des ventes de poulet standard, hors bio et hors labels, et sur le dynamisme des produits élaborés, en particulier les panés et produits cuits.

Le communiqué du groupe souligne la performance des grandes et moyennes surfaces, avec une progression de +5,1 % en valeur et +3 % en volume. Les ventes sous marques propres, notamment Le Gaulois ou Loué, affichent également une croissance de plus de 4 %.

L’international, moteur inattendu de la performance

La vraie surprise du trimestre vient de l’international. Le pôle a vu ses ventes s’envoler de 54 %, atteignant 284 millions d’euros. Une envolée liée à plusieurs acquisitions récentes, notamment en Pologne, en Roumanie et en Allemagne, qui commencent à peser dans la balance commerciale du groupe.

LDC n’entend pas s’arrêter là. Fin mai, il a officialisé l’acquisition du groupe Pierre Martinet, connu pour ses salades composées, avec une intégration prévue dans les prochains mois. Cette opération s’inscrit dans une stratégie assumée de diversification et de montée en gamme dans le traiteur.

Des ambitions 2026 atteignables… dès 2025 ?

Malgré un léger repli de 1,1 % des volumes dans l’activité Traiteur, en raison du ralentissement sur les plats cuisinés surgelés, le groupe reste serein. Les ventes de Marie, marque phare du segment, restent stables.

Et surtout, LDC affirme pouvoir atteindre un an plus tôt les objectifs fixés pour son plan stratégique 2026–2027 : franchir les 7 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel. Avec une telle dynamique et une demande toujours soutenue, la trajectoire semble bien tracée.

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