(CercleFinance.com) - Vallourec annonce une accélération des restructurations: qu'à cela ne tienne, le titre subit une nouvelle désintégration de -10% à 5,62E (le prétexte tout trouvé serait la rechute du baril sous 30$).
Ce krach ramène sa capitalisation à 765MdsE... un montant bien inférieur à la valeur l'outil industriel et des stocks, le reste -y compris la trésorerie- étant comptés pour zéro.
Vallourec qui chute de -35% en 10 séances et de -20% cette semaine affiche un cours de faillite qui ne valorise même pas les actifs 'à la casse'.
Comment Est-ce possible ?
Tout simplement grâce à une croissance exponentielle de la position 'short' (ventes à découvert) qui représente -selon les rumeurs- plus de 16% du capital, ce qui constituerait un record depuis Peugeot il y a 3 ans.
Plus les positions 'short' sont gagnantes, plus les robots des 'hedge funds' renforcent la stratégie vendeuse: cela s'appelle 'pyramider les gains'.

Qui prête une telle quantité de titres (plus de 20 millions) pour qu'ils soient vendus à découvert sous 6E, voilà la bonne question à se poser.

Toute le monde est complice de cette désintégration dont l'analyse technique ne peut plus fournir d'objectif depuis longtemps... ou alors au risque de servir de caution aux vendeurs à découvert, avec des objectifs de cours apocalyptiques.

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