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Si je peux me permettre, je pense que vous n'avez pas compris le montage. Extrait d'un article de l'Usine Nouvelle qui résume bien le montage :
"Cette feuille de route prévoit la scission en deux entités cotées séparément en Bourse. D’un côté, Evidian... . De l’autre, un nouvel Atos, gardant les activités historiques d’infogérance logées aujourd’hui dans la division Tech foundations. Il est prévu de distribuer 70% des actions d’Evidian aux actionnaires actuels d’Atos, puis de monétiser les 30% restants pour financer la transformation du futur Atos."
Bien cordialement
Adi Shatz
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Je m'interroge sur les articles que je vois sur internet qui parlent de vente d'Evidian...
Une fois la vente réalisée, si tel est le cas, ATOS ne vaudra plus rien... je doute donc qu'ATOS se sépare des bijoux de famille si facilement...
Initialement il était indiqué que 30% d'EVIDIAN serait propriété ATOS, le reste distribué aux actionnaires ATOS...
Du coup, je m'interroge sur l'origine des 30% prévus pour AIRBUS... sauf à voir airbus s'offrir 30% d'ATOS... si ça se fait comme ca, le titre ATOS va bien s'apprécier.
Affaire à suivre...
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Bjr impossible de télécharger
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Atos ? Valeur de l’année 2023 ? J’espère 🤞
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Evidian vaut 7 MILLIARDS !!! 😤😤😤
Pour le groupe présidé par Patrice Caine, pas question de s'alourdir d'activités de services de transformation numérique logées chez Evidian et donc d'acquérir... une SSII habilement embellie par certaines activités prometteuses. Sur les 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires d'Evidian, les activités Big Data et Sécurité pèsent moins de 30% des activités (1,5 milliard) et celles de cybersécurité 10% (soit 500 millions d'euros), selon nos informations.
C'est ce qui fait reculer Thales, qui a d'ailleurs déjà une SSII dans son périmètre pour ses propres besoins. En outre, Atos ne vend qu'une participation minoritaire (30%) et souhaite la céder au prix fort (1,2 milliard d'euros). Cette vente, si elle se finalise, lui permettra de financer la restructuration de ses activités historiques. Au total, Evidian est valorisée 7 milliards d'euros (dette comprise) par Atos. Enfin, cette participation minoritaire ne permet pas de faire jouer de synergies entre Evidian et l'acheteur, lequel devra lancer une OPA sur le reste du capital pour être majoritaire.
Airbus en pole ?
Intéressé par Evidian, Airbus a en revanche déjà ouvert des discussions avec Atos, comme l'ont révélé Les Echos. Le groupe européen logerait ces activités au sein d'Airbus Defence & Space, une division dirigée par les Allemands (Michael Schoellhorn). Plus précisément, elles atterriraient probablement chez Airbus Secure Land Communications, dirigé par le Français Olivier Koczan qui est supervisé par le Néerlandais Evert Dudok (Connected Intelligence), réputé très proche des intérêts allemands.
Pour Airbus, cette opération serait l'occasion de renforcer dans le cadre d'une stratégie de développement la digitalisation de son offre, notamment dans les « systèmes C2 » (multi-domaines / cloud de combat / C3I). Le SCAF fait certainement partie de l'équation. Airbus rattraperait une partie de son retard sur Thales dans ce domaine. « Atos est un partenaire, Atos est un fournisseur, Atos fait des activités de cybersécurité, donc on travaille avec eux et on réfléchit à l'avenir des relations avec Atos. C'est un partenaire très important pour nous, donc oui on discute avec Atos », a confirmé vendredi Guillaume Faury sur BFM Business.
Pour autant, cette opération pourrait embarrasser l'État français. Ce dernier s'inquiète de l'avenir d'Atos avec qui il a passé un certain nombre de contrats sensibles. Ce géant de la sécurité et de l'informatique pourrait rester sous pavillon tricolore pour des raisons de souveraineté. A l'État français de se prononcer. Et les interminables négociations entre Airbus et Dassault Aviation pour finaliser le pilier 1 du SCAF (NGF, ou New Generation Fighter) ont laissé des traces au sein du gouvernement français, notamment au ministère des Armées, qui n'a guère apprécié l'attitude du géant européen jugé trop proche des intérêts allemands.
« Airbus est une entreprise européenne, avec une grande présence en France, avec des activités qui sont (...) pour la défense de la France et pour des intérêts extrêmement souverains et on sait gérer ça. Donc, je n'accepte pas d'entendre qu'on n'est pas suffisamment français pour des activités de cybersécurité ou autres », a rétorqué vendredi Guillaume Faury sur BFM Business, rappelant l'« avantage considérable d'être une entreprise européenne » pour obtenir un « effet d'échelle ».
Atos a rejeté une offre du groupe Onepoint
Contacté par Reuters, Atos a indiqué avoir engagé, en lien avec la mise en œuvre de son plan stratégique, « des discussions exploratoires avec de potentiels futurs actionnaires minoritaires du périmètre d'activités regroupé sous le nom d'Evidian ». Le groupe a cependant précisé que « ces discussions ne sont pas suffisamment avancées pour permettre tout autre commentaire ». Atos a rejeté en septembre une offre de rachat d'Evidian pour une valeur d'entreprise de 4,2 milliards d'euros émanant du groupe Onepoint. Enfin, Orange serait également intéressé par les activités d'Evidian.
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Direction 20€ puis ??? 🚀
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Décollage 🚀
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Ce bien l’analyse de ABC bourse !
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https://www.abcbourse.com/analyses/atos_sera_t_elle_la_valeur_de_l_annee_2023_-6095
La spéculation a repris de plus belle sur Atos depuis le début d'année et le titre reste dans une dynamique de reprise. Il faut dire que sa valorisation était tombée à des niveaux dérisoires et quasiment inexplicables compte tenu de la situation. Cette dernière est certes compliquée mais pas au point quand même de “pricer” un cours de faillite.
Depuis le 1er janvier, les rumeurs se sont intensifiées autour de sa pépite “Evidian”. Cette fois-ci elles évoquent l'intérêt d’Airbus pour les activités de cybersécurité notamment. Un scénario qui est cohérent mais qui pourrait intervenir après la scission effective du groupe Atos en deux entités.
À ce stade on ne peut donc que spéculer sur l'avenir du dossier mais une chose est certaine, aucune transaction ne se fera sur une valorisation aussi faible. Ensuite, au-delà de l'aspect spéculatif, le groupe est tout de même en plein redressement et lancé à grande vitesse vers sa scission qui devrait faire apparaître de manière plus évidente la valeur ajoutée du groupe. Dans cet esprit, nous restons acheteurs sur le dossier avec une première étape aux alentours de 15 € puis 20 € à terme au cours de l'année 2023.
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