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Je ne sais pas si c'est à cause des taxes ou pas mais rentabiliser des lignes aériennes à partir de Bergerac ou de Brive (respectivement 65000 et 47000 habitants) est certainement mission impossible.
Les français voudrait un aéroport à moins de 10mn de chez eux, mais sans nuisance sonore et avec des billets ne dépassant pas 20€ pour toute l'Europe.
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Personne n'est dupe. ce mauvais patron utilise un faux prétexte pour cacher la perte de sa compagnie qui ne survit qu'en faisant subir des conditions de travail infernale à ces employés pour les exploiter au maximum.
Ryanair est régulièrement et depuis plus de 10 ans classée la pire compagnie aérienne au royaume Unis, et la direction est dans le déni. Avec des pratiques régulière d'annulation de vol à la dernière minute, de surbooking au delà de la légalité, et du non paiement des pénalités aux passagers lésés.
C'est le début de la fin pour cette société ...
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Ryanair a annoncé une réduction significative de ses opérations en France cet hiver, citant la taxe de solidarité comme l'une des raisons principales. Trois villes françaises seront directement touchées par l'arrêt des vols.
Le 30 juillet 2025, Ryanair a confirmé qu'elle allait réduire de 13% sa capacité en France pour cet hiver. Cette réduction concerne particulièrement les aéroports de Bergerac, Brive et Strasbourg. La compagnie aérienne irlandaise à bas prix a exprimé son mécontentement face à la taxe de solidarité sur les billets d'avion, qu'elle juge "astronomique". Selon Ryanair, cette taxe nuit à la compétitivité de la France par rapport à d'autres pays européens comme l'Irlande, l'Espagne ou la Pologne, qui n'ont pas de telles taxes aériennes.
Le directeur général de Ryanair, Michael O'Leary, a vivement critiqué cette taxe, la qualifiant de "rendant la France moins compétitive". Dans un communiqué, il a affirmé que cela affecte directement l'activité de la compagnie en France, entraînant la réduction de ses vols. "Cette taxe astronomique rend la France moins compétitive par rapport à d'autres pays de l'UE comme l'Irlande, l'Espagne ou la Pologne, qui n'imposent aucune taxe aérienne", a-t-il déclaré. Cette décision s'inscrit dans une série de réductions de capacités que Ryanair a déjà évoquées précédemment.
En mars dernier, Michael O'Leary avait déjà averti que Ryanair allait revoir sa présence en France. "Nous allons réduire nos capacités en région en France cette année de 4 ou 5%", avait-il annoncé à Bruxelles. Il a précisé que cette réduction allait impacter la France de manière significative, expliquant que l'Italie, par exemple, connaîtrait une augmentation de 5 millions de passagers, tandis que la France verrait une baisse de 1 million de passagers, passant de 12 à 11 millions.
La situation s'est aggravée récemment avec la grève des contrôleurs aériens en France, qui a perturbé des millions de passagers. Michael O'Leary n'a pas manqué de critiquer la gestion de ces grèves, appelant Bruxelles à intervenir. "Il est tout simplement inacceptable que la Commission continue de rester les bras croisés, laissant le marché unique être fermé par un petit nombre de contrôleurs aériens français", avait-il insisté.
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