Non communiqué encore
(Extrait du International Harold Tribune, rubrique "Infrastructures Fantasmées & Innovation Inertielle")
Le Botswana roule vers l’avenir — sans frein ni rail, mais avec panache.
La Transport Express United Botswana (TEUB), société nationale en charge de la mobilité conceptuelle, vient de signer un partenariat stratégique d’envergure latente avec un grand groupe français, dont le nom n’a pas été officiellement dévoilé mais qui commence par « Euro » et finit par « plasma », et dont le savoir-faire dans la transformation de déchets en promesses est désormais mondialement reconnu.
Aux termes de l’accord, plusieurs milliers de roues de train devraient être livrées d’ici 2040, ou dès que le premier centimètre de rail aura été posé.
Selon un communiqué en Comic Sans diffusé par fax, le prototype de roue est « presque rond » et « tourne quand on le pousse », ce qui constitue une avancée majeure dans le cadre du programme Roule Botswana 2030.
Le ministre botswanais des transports a précisé :
« Nous avons rencontré plusieurs industriels, mais ce groupe français nous a séduits par sa maîtrise des financements publics sans obligation de résultat. »
De son côté, le PDG du groupe français, visiblement inspiré, a déclaré :
« Ce projet s’inscrit dans notre ADN : livrer aujourd’hui ce qui servira peut-être demain. Comme à Morcenx ou à la Fonderie de Bretagne. Nous ne savons pas encore à quoi serviront ces roues, mais nous sommes certains qu’elles auront un impact. »
Thales, également mentionné dans les coulisses, pourrait participer à la sécurisation numérique du réseau inexistant, via un cloud souverain dédié à la gestion des horaires de trains imaginaires.
Le projet est financé par un fonds européen de coopération internationale, par le Botswana Development Dream Fund, et par des OCABSA à conversion circulaire adossées à l’espoir populaire.
Un expert du secteur résume l’ambition :
« On n’est pas là pour que ça roule, on est là pour que ça existe. Nuance. »
Message complété le 24/07/2025 11:44:19 par son auteur.
ah non c'est une blague
Répondre
|