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Je suis étonné qu'il n'y ait pas de repreneur.
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Sur Orléans le chantier les ATELIERS DE QUELLE ne reprendra pas avant 2026.
La pénurie de logements qui touche Orléans n'est pas prêt de se résorber.
Pour avoir un logement social à Orléans il faut au minimum 18 mois.
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Je passe régulièrement devant cet énorme projet.
Je ne vois aucun signe de vie.
Je n'ai pas l'impression que les travaux ont redémarré.
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Ça sent pas bon du tout pour 2025 : le secteur de l'immobilier en construction devrait acter les problèmes et les assurances professionnelles du secteur devraient lourdement augmenter à l'issue des règlements des situations de liquidation judiciaire …
On risque tout même un effet domino qui tombe pour acteurs de ce secteur d'activité.
Immobilier : les garants face au risque des chantiers arrêtés
En cas de défaut du promoteur, une garantie financière d’achèvement (GFA) est activée. Si une hausse des GFA en cours est observée, le phénomène reste pour l’instant marginal.
08 avril 2025
On notera que :
"Fragilisés par la fin des taux bas, des promoteurs régionaux ou nationaux ont récemment été placés en redressement judiciaire. Outre Réalités qui doit livrer 60 programmes, citons le toulousain Carrère, l’angevin P2I ou encore le groupe coté Capelli, dont les 8 chantiers en cours ont la particularité d’être tous en co-promotion, avec Sogeprom notamment. De son côté, Alila, qui a disparu de la circulation pour d’autres raisons, déclarait 60 opérations non achevées à l’annonce de sa liquidation en octobre dernier.
En cette troisième année de crise immobilière, les défaillances d’opérateurs qui se trouveraient dans l’incapacité de terminer leurs programmes vont-elles se traduire par une augmentation des garanties financières d’achèvement (GFA) activées ?
« La GFA est déclenchée quand le promoteur est défaillant d’un point de vue financier et opérationnel », rappelle Alfred Fink, avocat associé du cabinet Taylor Wessing. Le but est alors de donner les moyens au nouvel opérateur, à l’administrateur ad hoc ou au mandataire de justice, éventuellement accompagnés d’un professionnel du secteur, de reprendre le chantier à l’arrêt, suite au défaut du promoteur initialement accompagné. Un détail qui compte : cette garantie « ne couvre ni les retards ni les réserves de réception de travaux », précise Nicolas Planchot, avocat associé du cabinet Gide à Paris, qui a connu seulement « deux (déclenchements de) GFA en vingt ans de carrière ».
Comme CDC Habitat qui commande des logements aux promoteurs, la Socfim, la banque des promoteurs (principalement nationaux) qui enfile également le costume de garant de leurs programmes, observe une hausse des chantiers à reprendre. « Sur nos 800 opérations garanties, cinq GFA sont activées ou sous menace de l’être. "
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La suite pour le dossier de Saran : quel bordel !…
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Nouveau rebondissement dans le chantier immobilier Quelle à Saran : la situation devient ubuesque.
La reprise du chantier a d’abord été annoncée avant que le promoteur ne revienne sur cette décision. Les propriétaires sont excédés ; la mairie de Saran monte au créneau. ( 20 février 2025 ).
Et ben… bon courage aux acheteurs de logements : ils sont pas prêts de voir le bout du tunnel…
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Sortie de crise pour l'imposant projet immobilier des Ateliers Quelle à Saran ?
Le promoteur Réalités, miné par des ennuis financiers, a annoncé qu’il relancerait sept chantiers en France dont celui sur l’ancienne friche Quelle le long de la RD2020 à Saran... avant de retirer Quelle de la liste.
Publié le 19 février 2025
Mise à jour mercredi 19 février à 19 h 50 : Entre la parution du communiqué de Réalités sur sa page LinkedIn et la publication de notre article sur notre site, le promoteur a modifié son post. Réalités ne relance pas sept chantiers, mais six. L'atelier Quelle ne figure plus sur la liste. Le titre et le chapô de l'article ont été modifiés en conséquence.
Le projet immobilier Les Ateliers Quelle, en bordure du RD2020 à Saran, sommeille depuis plusieurs mois ; depuis que le promoteur Réalités est enlisé dans des difficultés financières. Un fardeau de 430 millions de dettes.
Il avait formulé, le 5 février dernier, plusieurs demandes d’ouverture de procédure collective auprès du tribunal de commerce de Nantes. Le placement en redressement judiciaire de plusieurs sociétés du groupe a été accordé avec une période d’observation de six mois.
Réalités vient de confirmer le redémarrage de sept chantiers en France après la signature d’un accord-cadre avec la Compagnie européenne de garanties et cautions (CEGC). Parmi eux, l’imposant projet des Ateliers Quelle (500 logements).
"Une bonne chose pour les entreprises"
"C’est une nouvelle positive pour les propriétaires et la Ville, convient Mathieu Gallois, le maire communiste de Saran. Le chantier n’était pas complètement à l’arrêt mais il n’avançait pas à un rythme de croisière normal comme pour la construction de la résidence seniors. Cette reprise de l’un des plus gros chantiers de la métropole d’Orléans est une bonne chose pour les entreprises locales."
Joint dimanche 16 février, Patrick Lacheré, membre du collectif des propriétaires des Ateliers Quelle, ne s'étonnait pas de cette décision. Il en avait été question lors de la visite sur le site le 30 janvier.
"J’espère que tout va reprendre à la fin du mois de mars. Mais il faudra du temps avant que nous puissions habiter sur place. J’estime ce délai à un an, ce qui nous conduit au mieux, au premier trimestre 2026."
Il avait vendu sa maison pour s’installer dans un appartement neuf à Saran. Seulement, l’accumulation de retards a contrarié ses plans. Il a été contraint de louer un appartement en attendant la livraison de son bien immobilier. Il n’est pas le seul dans ce cas. Alors, la décision de Réalités ressemble à un immense soulagement.
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Effectivement j'avais pas vu le Problème de Saran, ça craint du boudin…
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Chantier arrêté, propriétaires en colère : à Saran, la réhabilitation de l'ancienne friche Quelle tourne au fiasco
Publié le mardi 10 décembre 2024
A Saran, les premiers logements des Ateliers Quelle auraient dû être livrés fin 2024. C'était l'engagement du promoteur Réalités chargé de transformer l'ancienne friche en un complexe de 500 logements. Mais depuis mai dernier, le chantier est à l'arrêt. Les propriétaires lésés ont décidé de réagir.
C'est sans doute le plus gros chantier du moment sur la métropole d'Orléans : la transformation de l'ancien site Quelle de Saran en un complexe de 500 logements, avec des commerces, une résidence séniors et un pôle santé. Si les travaux de ces "Ateliers Quelle" ont bel et bien démarré il y a 2 ans, tout semble aujourd'hui s'être figé. Et pour cause, depuis plusieurs mois, le promoteur en charge de cette réhabilitation, le nantais Réalités, connait de gros problèmes financiers. Le groupe a même engagé une procédure de conciliation avec ses créanciers devant le tribunal de commerce de Nantes. Il espère ainsi trouver des accords à l'amiable et éviter un redressement voire une liquidation judiciaire.
" Il n'y a plus d'échéance de livraison.. on est complètement dans le flou"
Seulement, "derrière Réalités, il y a surtout la réalité des propriétaires lésés" ironise Charlotte. Cette trentenaire, qui travaille sur Paris, aurait dû récupérer ce mois-ci les clefs de son pavillon flambant neuf aux Ateliers Quelle. Mais, sa maison est loin d'être prête. "On avait reçu un premier courrier nous indiquant un report de livraison de 2024 sur 2025 et là, il y a quelques jours, Réalités nous dit qu'il n'y a plus d'échéance, plus de date ferme. On est complètement dans le flou". Pour la jeune femme et son compagnon, la situation a des conséquences financières. Ils ont souscrit plusieurs crédits dont les remboursements ont déjà commencé. "J'ai également bénéficier d'un prêt à taux zéro et la condition, c'est que le bien soit livré dans les 3 ans. Ca va bientôt faire 3 ans que j'ai signé et donc j'ai peur de perdre ce prêt".
Depuis quelques semaines, Charlotte tente de trouver d'autres propriétaires pour monter un collectif. Elle a organisé une visio en fin de semaine dernière avec une quinzaine de personnes. Patrick a répondu à l'appel. Il y a 2 ans, ce retraité a vendu sa maison à Ormes pour acheter un appartement aux Ateliers Quelle." Avec mon épouse, on avait une maison devenue trop grande. Là, on a acheté un appartement au rez-de-chaussée, plus pratique, plus accessible". Seulement, le logement qui devait être prêt fin 2024 vient seulement d'être mis hors-sol et hors d'eau. "Moi, je n'ai pas de crédit sur le dos mais j'ai déboursé déjà 200.000 euros et en attendant, je suis en location".
Des propriétaires en colère lancent un collectif
Pour ces deux propriétaires, la situation est d'autant plus compliquée que le groupe Réalités est aujourd'hui aux abonnés absents ( y compris d'ailleurs pour la presse). "Je peux comprendre les difficultés actuelles dans l'immobilier. Mais, dès cet été, quand on a constaté que plus rien n'avançait sur le chantier, Réalités nous a dit que tous les ouvriers étaient en vacances. On nous a pris pour des idiots" s'énerve Tiffanie. " Plus vite Réalités sera fixé sur son sort et plus vite, on y verra plus clair pour nous" ajoute Patrick. La procédure de conciliation doit se terminer le 18 décembre. Si le groupe est placée en liquidation judiciaire, les assurances pourraient alors prendre le relais pour achever les travaux.
En attendant, la quinzaine de propriétaires réunis par Charlotte a décidé de se constituer en collectif "pour se faire entendre auprès de Réalités et des pouvoirs publics". Ils invitent tous les autres propriétaires à venir les rejoindre. Pour cela, ils ont ouvert une adresse mail :
collectif.ateliersquelle@gmail.com. Une page Facebook vient également d'être lancée. Ce collectif a déjà prévu de s'inviter au conseil municipal de Saran le 20 décembre prochain.
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Quand on vend un produit de luxe, il faut qu'il soit parfait. Ce qui était acceptable en 1950 ou 1960 ne l'est plus aujourd'hui. Voir le chantier les Ateliers de Quelle à Saran.
Les propriétaires veulent être au calme avoir des espaces verts et des jeux pour les enfants, et une école et un collège sans avoir à traverser une route nationale.
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Suite aux articles en précédent concernant les soucis important Réalités, j'envisage la cession de ce qu'il me reste en rayon sur PEA 1
De l'intérêt de conserver les titres et de percevoir les dividendes : vous pourrez constater que la limite bien la casse au final malgré une perte élevée. J'avais conservé des titres en portefeuille car j'espérais sincèrement un retournement plus positif de la situation qui hélas ne vient pas
Ma ligne de 502 date de 2016. J'ai une distribution gratuite de + 50, et j'en ai vendu 206 : restent donc 346 titres
• - 88,02 % de moins value
• - 2 708,246 € de pertes réalisable
Coté Gain
• + 50 titres en 2023 (+ rompus = 0,2 titres soit 3,66 )
• Vente de 206 en 2024 : Plus value totale 1079,92 € (soit + 5,242 € par titre)
• Dividendes totaux perçus : 2339,32 €
— 2022 : 1,80 € x 502 = 903,60
— 2021 : 0,70 € x 502 = 351,40
— 2019 : 0,66 € x 502 = 331,32
— 2018 : 0,60 € x 502 = 301,20
— 2017 : 0,50 € x 502 =251, 00
— 2016 : 0,40 € x 502 = 200,80
Ce qui fait que en brut, malgré la lourde perte, je reste à + 714,65 € de bilan financier Brut ( hors frais de cession de la ligne restante).
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Ça sent hélas la fin… Je crois que je vais dégager au mieux les 346 qui me restent. J'avais laissé une chance au produit en rayon. Mais bien se rendre compte, que là, le ciel s'obscurcit considérablement.
Au tribunal de commerce, une vingtaine de nouvelles sociétés de Réalités en redressement judiciaire
OF | Vingt-sept sociétés chargées de la commercialisation de programmes immobiliers un peu partout en France ont été placées en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Nantes. Le promoteur tente de redresser la pente en restructurant le groupe.
Le siège de Réalités, à Saint-Herblain, où les salariés de différents secteurs se sentent dans le flou, malgré la communication positive de leur direction.
Le siège de Réalités, à Saint-Herblain, où les salariés de différents secteurs se sentent dans le flou, malgré la communication positive de leur direction.
Publié le 16/05/2025 à 19h03
La galaxie Réalités se fissure toujours un peu plus. Et le promoteur immobilier, coté en Bourse, tarde à publier ses résultats annuels 2024. Il avait informé ses actionnaires, il y a un mois, « d’un ajustement de son calendrier de communication financière ». Ce mercredi 14 mai, vingt-sept nouvelles sociétés ont été placées en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Nantes. Il s’agit de sociétés rattachées à différents programmes immobiliers en France, notamment en Normandie et en Île-de-France, chargées de la commercialisation.
Avec cette procédure, elles peuvent continuer à travailler, à vendre pour tenter de renflouer la trésorerie. Pendant ce temps, les dettes sont gelées. Depuis plusieurs mois, filiales et sociétés demandent la protection du tribunal. En février, c’est la holding qui a déposé le bilan. Le groupe affichait alors un passif de 430 millions d’euros.
Des victimes
Le mastodonte nantais connaît de sérieuses difficultés. Coût de la construction, hausse des taux d’intérêt et une politique ambitieuse mais risquée du toujours plus et plus grand se retournent contre lui. Au premier semestre 2024, son chiffre d’affaires a chuté de 33 % ; en 2023, son résultat d’exploitation avait déjà dégringolé de 83 % pour s’établir à deux millions d’euros.
Le promoteur, pour redresser la barre, réduit les effectifs (l’ensemble du groupe compte aujourd’hui 700 salariés) et les coûts. Il s’efforce de vendre des filiales mais aussi des programmes immobiliers. Peu de candidats pour l’heure.
En attendant, le nombre de victimes de cette déconfiture grossit. Du côté des acquéreurs de logements qui ont engagé des crédits mais ne disposent toujours pas d’appartement. Des chantiers sont à l’arrêt. Des entreprises aussi sont à la peine. Des artisans qui ont réalisé des travaux subissent des impayés. Et demandent des comptes devant les tribunaux.
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27 sociétés du promoteur Réalités en redressement judiciaire à Nantes
Le tribunal de commerce de Nantes a de nouveau placé en redressement judiciaire des sociétés de Réalités. Il s’agit de 27 sociétés liées à des programmes immobiliers dans différentes régions de France.
Au siège de Réalités, à Saint-Herblain (Loire-Atlantique), l’incertitude plane sur l’avenir du groupe.
Publié le 16/05/2025 à 17h51
Le tribunal de commerce de Nantes avait réservé un peu de temps pour étudier le cas du promoteur immobilier, lors de l’audience du mercredi 16 mai. Les juges devaient décider du sort de pas moins de 27 sociétés de Réalités. Mercredi 14 mai, elles ont toutes été placées en redressement judiciaire, ce qui leur permet de poursuivre leurs activités tout en gelant les dettes. Il s’agit de sociétés de construction et de vente de biens immobiliers. Chaque société est rattachée à un programme.
Le promoteur, lui-même placé en redressement judiciaire en février dernier, plombé par un passif de 430 millions d’euros, tente de redresser la barre, réduit les effectifs, les coûts, abandonne des opérations en cours, cède des filiales.
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Ça sent le pâté et la rupture de la chaine du froid…
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27 stes mises en redressement judiciaire ce jour par le tribunal de Nantes.
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La valorisation est de 5 millions € pour le moment il n'y a pas de repreneur.
Certains chantiers sont arrêtés depuis plus d'un an.
Nexity, Eiffage, Kaufmann & Broad, Bouygues, Icade n'ont pour le moment pas fait d'offre.
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Report de la publication des résultats annuels et du rapport financier annuel 2024
COMMUNIQUÉ DE PRESSE | Nantes, le 16 avril 2025, 17h45 –
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REALITES (FR0011858190 – ALREA) informe ses actionnaires d'un ajustement de son calendrier de communication financière.
Comme annoncé le 5 février 2025, date à laquelle la holding et plusieurs sociétés du Groupe ont été placées
volontairement sous la protection du Tribunal de Commerce de Nantes, le Groupe continue de développer les
mesures nécessaires à la présentation d’un projet de restructuration au Tribunal de Commerce de Nantes à
l’issue de la période d’observation (réorganisation des effectifs, réduction des coûts, abandons d’opérations en
phase de développement, …).
Dans ce contexte exceptionnel où les travaux de clôture des comptes doivent être ajustés pour refléter au mieux
la situation économique et financière actuelle de l’entreprise dans le cadre de la procédure en cours, REALITES
ne sera pas en mesure de publier ses comptes annuels et son rapport financier annuel 2024 au plus tard le 30
avril 2025 comme initialement prévu et met tout en œuvre pour finaliser ces documents dans les meilleurs
délais.
La direction reste pleinement mobilisée pour assurer la continuité des activités et travaille en étroite
collaboration avec l’ensemble des parties concernées afin de rétablir la stabilité financière de l’entreprise.
Le marché sera tenu informé du calendrier détaillé de publication des comptes annuels 2024 dans les meilleurs
délais.
À propos de REALITES
Fondé en 2003 par Yoann Choin-Joubert, son PDG, REALITES est un développeur territorial qui construit avec et
pour les villes et les métropoles des solutions immobilières utiles, créatrices d’attractivité et de développement
économique. Logements, bureaux, résidences avec services crèches, commerces… dans tous nos projets, nous
pensons le besoin et l’usage avant l’ouvrage. Pour cela, le Groupe dispose d’une expertise globale qui va de la
conception à l’exploitation, en passant par le développement, l’investissement et le portage.
REALITES est coté sur Euronext Growth Paris depuis 2014 et son titre est éligible au PEA PME (code Isin :
FR0011858190, Mnémo : ALREA).
Pour en savoir plus : realites.com
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Si mes calculs sont bons sur 3200 appartements en construction il y a environ 1063 appartements en construction arrêtés.
A mon avis ils vont chercher un repreneur pour racheter Réalités.
Dans sa chute Réalités à entraîné des entreprises de plomberie, des entreprises d'électricité, des entreprises de peinture, des carreleurs...
Des centaines d'entreprises de sous traitance ne verront jamais leur argent.
Il y a malheureusement les propriétaires qui sont touchés mais aussi des milliers d'emplois.
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@ gars d1
Le promoteur immobilier Réalités en redressement judiciaire : quelles conséquences pour les acheteurs?
Selon certains reportages TV, la dernière ressource des clients : pleurer.
Ils doivent continuer à rembourser leurs emprunts, et payer un loyer en location en plus - à moins de dormir dans leur voiture. (encore heureux que l'état ne taxe pas les nuits passée dans la voiture !)
Il n’existe pas, semble t’il, d’assurance pour les protéger de ce genre de tuile, et je n’ai jamais entendu dire que les banques proposaient des arrangements.
Donc, les clients vont payer pendant …..jusqu’à extinction de leur dette, sans posséder quoi que ce soit à la fin.
Mais de ça, les banques et l’état, s’en battent les c….hoses de la vie.
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Le promoteur immobilier Réalités en redressement judiciaire : quelles conséquences pour les acheteurs?
Le 07/02 à 10h47
Réalités, le promoteur nantais, a été placé en redressement judiciaire. Il avait en cours 60 chantiers dont 3.200 logements.
Le promoteur nantais d'envergure nationale Réalités vient d'annoncer son placement en redressement judiciaire. Réalités est l'illustration parfaite de la crise que traverse la promotion immobilière. Il a subi de plein fouet la crise inflationniste et la subit d'autant plus violemment que l'entreprise a été très gourmande avant en multipliant des projets et des lignes de crédit.
Le retournement du marché avec l'augmentation des coûts des matériaux, hausse des taux d'intérêt avec effondrement des achats... Tout s'est enchainé, provoquant aussi la défiance des fournisseurs et des entreprises sur les chantiers.
Le groupe qui comptait encore plus de 1.000 salariés en 2023 a dû déjà se séparer de plusieurs filiales. Selon son patron, ils ne seront bientôt plus qu'une centaine dans l'entreprise. Sa dette financière dépasse désormais les 400 millions d'euros.
Les acheteurs commencent à rembourser leur crédit
L'enjeu, désormais, est la survie. D'où le placement en redressement judiciaire. Mettre sous cloche les dettes passées pour se concentrer sur les chantiers en cours. 60 précisément dont un tiers sont aujourd'hui à l'arrêt.
60 chantiers dont 3.200 logements. Ces projets ne sont pas concernés par la procédure, car l'objectif, nous dit-on en interne, est de parvenir à livrer les acheteurs qui subissent pour certains jusqu'à 3 ans de retard.
Un sujet majeur puisque pour les crédits de ces acheteurs doivent déjà commencer à être remboursés. Et attention, le cas de Réalités ne sera pas isolé compte tenu de la violence de la crise actuelle. Les banques, qui garantissent l'achèvement des chantiers pour les promoteurs, commencent déjà à se renseigner sur les modalités de mises en œuvre de ces garanties. Ce qu'on appelle les GFA et qui ne s'appliquent qu'en cas de faillite du promoteur. "Cela faisait 20 ans que les banques n'avaient plus eu à s'en soucier", explique Pascal Boulanger le patron de la fédération du secteur. Il mettait lui-même en garde les pouvoirs publics en fin d'année dernière redoutant une année 2025 "sanglante".
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