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Jackpot pour EDF : le géant français affiche des profits historiques

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Finus Finus
25/02/2025 12:40:28
0

Un peu voleur sur les bords, EDF comme France Télécom avant l'ouverture à la concurrence, l'abonnement, c'est presque 50% de la facture d'un foyer moyen, une escroquerie dure à comprendre.

  
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gars d1 gars d1
25/02/2025 12:33:06
0

Pour FIN 2022,


Hors dettes financières de bilan, la rubrique "Autre passif " à éponger était de 145,260 Milliards d'€


+ Dettes financières non courantes 67,340 Milliards d'€

+ Dettes financières courantes 28,713 Milliards d'€

+ Dettes fournisseurs 23,284 Milliards d'€


Soit un total d'environ 264,59 Milliards d'€…


Et il en faudrait environ 60 de plus pour construire les EPR sans compter les dépassements de coûts, de délais et aussi les frais de financements…

  
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Rollier1 Rollier1
25/02/2025 12:25:24
1

« …la Cour (des Comptes) évalue désormais à 23,7 milliards d’euros le coût total de l’EPR de Flamanville, le réacteur numéro 3 de la centrale normande, couplé au réseau électrique français le 21 décembre 2024, avec douze ans de retard. »


  
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Half Half
25/02/2025 12:15:05
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11 milliards en 2024 et 14 milliards en 2025 ça fait 25 milliards €. Une belle somme non ?

  
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gars d1 gars d1
25/02/2025 11:34:56
0

je note : " A mon avis c'est suffisant pour faire des acquisitions."

c'est parfaitement ridicule…

Il va y avoir les EPR à financer et y'a la dette à rembourser, la dette à rouler.

Pour l'instant, on essaie d'améliorer le bilan car vu le niveau d'endettement et la gueule pourrie des ratio, contracter de la dette obligataire devenait un vrai défi.

Suffit de faire les comptes des coupons à servir sur la dernière dette obligataire souscrite récemment pour s'en rendre compte…

  
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Half Half
25/02/2025 11:08:00
0

En 2025 Edf devrait réaliser un bénéfice net d'environ 14 milliards €. A mon avis c'est suffisant pour faire des acquisitions.



  
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Loser62 Loser62
22/02/2025 23:31:12
1

les petits porteurs spoliés apprécieront .

  
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Armandtm2 Armandtm2
21/02/2025 16:11:11
1
PtitM les prix baissent de 15% cette année, et au pire le trop plein de gain va dans les finances de l’état, ce qui évite de chercher encore plus d’argent lors des PLF
  
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floalain floalain
21/02/2025 15:51:23
1
L'état n'a jamais été un bon actionnaire. Il se sert des entreprises qu'il possède pour arrondir ses fins de mois au profit de dépenses inutiles et non productives.
  
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Rollier1 Rollier1
21/02/2025 15:45:59
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?

Ce n’est plus coté 😊

  
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PtitM PtitM
21/02/2025 15:36:25
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jackpot sur ma facture aussi : +20% en deux ans, à iso consommation électrique... ouch
  
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PtitM PtitM
21/02/2025 15:36:25
0

Après une année 2022 marquée par des déboires techniques et une production électrique au plus bas, EDF renoue avec des résultats historiques. Grâce à la remise en service progressive de ses centrales nucléaires affectées par des problèmes de corrosion et à une production hydraulique soutenue par des conditions météorologiques plus favorables, le groupe a retrouvé une solide dynamique.

Toutefois, la baisse des prix du marché de l’électricité a pesé sur le chiffre d’affaires, en recul par rapport à 2023. L'EBITDA (excédent brut d’exploitation) s’établit à 36,5 milliards d’euros, en légère baisse de 8,5 %, bien que restant à un niveau record. « C’est le niveau le plus élevé jamais atteint après 2023 », a souligné Xavier Girre, directeur financier du groupe.

Des résultats solides qui profitent à l’État

Avec des bénéfices en nette progression, EDF redevient une manne financière pour l’État, son actionnaire unique depuis sa renationalisation. La société va ainsi verser 2,8 milliards d’euros de dividendes, contre 1,7 milliard en 2023.

Mais ces bons résultats ne viennent pas sans contrepartie. Le groupe fait partie des 440 entreprises françaises concernées par la nouvelle contribution fiscale sur les grandes sociétés, ce qui devrait porter son taux d’imposition à 41,2 % sur ses bénéfices.

Une situation qui fait grincer des dents certains observateurs. « L’État n’est pas un meilleur actionnaire qu’un fonds privé. Il demande des dividendes quand les résultats sont bons, au lieu de penser sur le temps long et de défendre les intérêts de la nation », a dénoncé le député du Haut-Rhin Raphaël Schellenberger.

Des défis majeurs en 2025

Si 2024 a été marquée par le démarrage tant attendu du réacteur EPR de Flamanville, EDF doit désormais se concentrer sur les défis stratégiques de 2025. Parmi les enjeux clés :

  • Le financement des six réacteurs EPR2 souhaités par le gouvernement, dont le budget prévisionnel a été repoussé de plusieurs mois.
  • L’évolution du marché de l’électricité avec la fin du dispositif Arenh (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique) le 31 décembre 2025.
  • Les défis internationaux, notamment aux États-Unis, où Donald Trump a gelé les projets éoliens offshore sur des terrains fédéraux. EDF a dû acter une dépréciation de 900 millions d’euros sur le projet Atlantic Shores, développé avec Shell.

Sur le territoire britannique, EDF doit aussi gérer une perte de 800 millions d’euros sur la centrale nucléaire d’Hinkley Point, un projet emblématique mais semé d’embûches.

Malgré ces obstacles, EDF affiche sa volonté d’investir massivement dans l’avenir. « Nous avons engagé une transformation profonde et une amélioration de notre efficacité opérationnelle, afin d’être au rendez-vous de la performance et des investissements nécessaires à la révolution électrique », a déclaré Luc Rémont, PDG du groupe.

2025 s’annonce donc comme une année décisive pour le géant de l’électricité, entre consolidation de ses acquis et accélération de la transition énergétique.

  
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