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Un peu voleur sur les bords, EDF comme France Télécom avant l'ouverture à la concurrence, l'abonnement, c'est presque 50% de la facture d'un foyer moyen, une escroquerie dure à comprendre.
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Pour FIN 2022,
Hors dettes financières de bilan, la rubrique "Autre passif " à éponger était de 145,260 Milliards d'€
+ Dettes financières non courantes 67,340 Milliards d'€
+ Dettes financières courantes 28,713 Milliards d'€
+ Dettes fournisseurs 23,284 Milliards d'€
Soit un total d'environ 264,59 Milliards d'€…
Et il en faudrait environ 60 de plus pour construire les EPR sans compter les dépassements de coûts, de délais et aussi les frais de financements…
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« …la Cour (des Comptes) évalue désormais à 23,7 milliards d’euros le coût total de l’EPR de Flamanville, le réacteur numéro 3 de la centrale normande, couplé au réseau électrique français le 21 décembre 2024, avec douze ans de retard. »
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11 milliards en 2024 et 14 milliards en 2025 ça fait 25 milliards €. Une belle somme non ?
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je note : " A mon avis c'est suffisant pour faire des acquisitions."
c'est parfaitement ridicule…
Il va y avoir les EPR à financer et y'a la dette à rembourser, la dette à rouler.
Pour l'instant, on essaie d'améliorer le bilan car vu le niveau d'endettement et la gueule pourrie des ratio, contracter de la dette obligataire devenait un vrai défi.
Suffit de faire les comptes des coupons à servir sur la dernière dette obligataire souscrite récemment pour s'en rendre compte…
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En 2025 Edf devrait réaliser un bénéfice net d'environ 14 milliards €. A mon avis c'est suffisant pour faire des acquisitions.
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les petits porteurs spoliés apprécieront .
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?
Ce n’est plus coté 😊
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Après une année 2022 marquée par des déboires techniques et une production électrique au plus bas, EDF renoue avec des résultats historiques. Grâce à la remise en service progressive de ses centrales nucléaires affectées par des problèmes de corrosion et à une production hydraulique soutenue par des conditions météorologiques plus favorables, le groupe a retrouvé une solide dynamique.
Toutefois, la baisse des prix du marché de l’électricité a pesé sur le chiffre d’affaires, en recul par rapport à 2023. L'EBITDA (excédent brut d’exploitation) s’établit à 36,5 milliards d’euros, en légère baisse de 8,5 %, bien que restant à un niveau record. « C’est le niveau le plus élevé jamais atteint après 2023 », a souligné Xavier Girre, directeur financier du groupe.
Avec des bénéfices en nette progression, EDF redevient une manne financière pour l’État, son actionnaire unique depuis sa renationalisation. La société va ainsi verser 2,8 milliards d’euros de dividendes, contre 1,7 milliard en 2023.
Mais ces bons résultats ne viennent pas sans contrepartie. Le groupe fait partie des 440 entreprises françaises concernées par la nouvelle contribution fiscale sur les grandes sociétés, ce qui devrait porter son taux d’imposition à 41,2 % sur ses bénéfices.
Une situation qui fait grincer des dents certains observateurs. « L’État n’est pas un meilleur actionnaire qu’un fonds privé. Il demande des dividendes quand les résultats sont bons, au lieu de penser sur le temps long et de défendre les intérêts de la nation », a dénoncé le député du Haut-Rhin Raphaël Schellenberger.
Si 2024 a été marquée par le démarrage tant attendu du réacteur EPR de Flamanville, EDF doit désormais se concentrer sur les défis stratégiques de 2025. Parmi les enjeux clés :
Sur le territoire britannique, EDF doit aussi gérer une perte de 800 millions d’euros sur la centrale nucléaire d’Hinkley Point, un projet emblématique mais semé d’embûches.
Malgré ces obstacles, EDF affiche sa volonté d’investir massivement dans l’avenir. « Nous avons engagé une transformation profonde et une amélioration de notre efficacité opérationnelle, afin d’être au rendez-vous de la performance et des investissements nécessaires à la révolution électrique », a déclaré Luc Rémont, PDG du groupe.
2025 s’annonce donc comme une année décisive pour le géant de l’électricité, entre consolidation de ses acquis et accélération de la transition énergétique.
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