gars d1
« « C'est aussi de l'information à connaitre au sujet de cette boite pas clean et à boycotter…Shein vient de recruter une personnalité politique française de premier plan: Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur d’Emmanuel Macron » ».
Ils appliquent la méthode des énarques, à qui nous avons payé les études , avec salaire siouplait, payé par nous : le plantouflage.
Méthode qui consiste à faire des aller/retour entre le public et le privé, pour vendre leur « carnet d’adresses » et tuyaux pour contourner la loi.
Pratique qui devrait être interdite ! Mais qui ne le sera jamais ; le pantouflage étant une belle assurance-vie pour tous les politiciens.
Avec Castaner, Shein s’ouvre les portes du monde politique en France, et aussi du monde de la pègre française qu’il (Castaner) a autrefois fréquenté.
Ceci dit, ça ne peut lui faire de mal s’il doit réellement bosser et non pas occuper un fauteuil réservé. Ça lui apprendrait la vraie vie.
Message complété le 17/02/2025 19:15:42 par son auteur.
Schein - Castaner serait donc une association de malfaiteurs ?
Mais ils ne seront pas inquiétés , l'A.N. étant pour partie elle aussi association de malfaiteurs.
Je n’ose imaginer la tête qu’il (Castaner) aurait fait si c’était le boulanger au coin de ma rue qui lui aurait proposé un boulot, pour aller livrer en vélo, des baguettes de pain. Ou de croissants, comme le faisait hollande .
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C'est aussi de l'information à connaitre au sujet de cette boite pas clean et à boycotter…
Et c'est aussi une marque qui pourrit et qui sature les écrans de ses publicités invasives sur les pages internet.
Pourquoi le géant de la fast-fashion Shein embauche-t-il des personnalités politiques françaises ?
Publié le mercredi 8 janvier 2025
Hugo Clément évoque l’offensive menée en France par un géant chinois, Shein, mastodonte de la fast-fashion.
Shein, ce monstre industriel chinois, envahit petit à petit les garde-robes des Français, et particulièrement des jeunes. Avec ses tee-shirt à 5 euros ou encore ses robes à 7 euros, fabriqués en Asie et expédiés en quelques jours, Shein écrase toute concurrence. Mais ce succès commercial se fait au détriment des fabricants européens, qui ne peuvent pas lutter à armes égales, et au détriment de l’environnement.
Des chiffres qui donnent le tournis
Shein proposent en temps réels 470 000 articles différents sur son site internet. 7000 nouvelles références sont ajoutées quotidiennement au catalogue, et au total Shein fabrique un million de vêtements par jour. Une production frénétique qui dégagerait d’après les estimations, 15 à 20 000 tonnes de Co2 chaque jour.
Pour ne rien arranger, ces habits de piètre qualité s’usent très rapidement : la durée de vie moyenne d’un vêtement Shein est d’à peine 65 jours, selon les calculs de l’association « en mode climat ». Avec cette usure ultra rapide et ces prix dérisoires, les clients sont donc incités à surconsommer, en jetant régulièrement leurs vêtements pour en racheter.
Une offensive politique de Shein en France
Shein vient de recruter une personnalité politique française de premier plan au sein de son comité stratégique régional : Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur d’Emmanuel Macron. Officiellement, il sera chargé de « conseiller l’entreprise sur sa responsabilité sociale et environnementale. » Oui, ça peut faire sourire après tout ce que je viens de vous dire…
Mais en réalité, ce recrutement fait partie d’une stratégie d’influence du géant chinois, qui veut empêcher la France de nuire à son business.
Une stratégie d'influence pour contourner la loi
Le 14 mars 2024, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité une proposition de loi visant à limiter la fast-fashion, pour protéger la nature et les industriels européens. Cette proposition de loi prévoit l’interdiction de la publicité pour les marques de fast-fashion comme Shein, mais aussi la mise en place d’un malus écologique pour les articles vendus à prix cassés, ou encore l’obligation pour les entreprises de communiquer l’impact environnemental de leurs produits.
Le Sénat va prochainement examiner ce texte, et si les sénateurs décidaient eux aussi de l’adopter, ce serait un énorme manque à gagner pour Shein, qui ne compte pas se laisser faire et qui embauche donc des personnalités françaises pour l’aider dans son travail de lobbying.
Christophe Castaner, un cas isolé ? Réponse, non.
Shein a également recruté Nicole Guedj, ancienne secrétaire d’État et Bernard Spitz, président du pôle international et Europe du Medef, le syndicat des patrons. Selon la fédération française du prêt-à-porter, je cite, « l’engagement de ces figures politiques auprès d’une entreprise dont les impacts environnementaux et sociaux sont unanimement dénoncés constitue un signal alarmant ».
Reste à savoir si les parlementaires résisteront face à ces manœuvres.
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Une marque à boycotter
Sans aucun souci…
: )
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Pour rappel
Shein, Temu... L’Assemblée nationale adopte des mesures pour pénaliser la fast fashion
Publié le 14 mars 2024
Le texte adopté en première lecture par les députés prévoit notamment un encadrement de la publicité et un «malus» environnemental.
Interdiction de la publicité pour la vente de vêtements à prix cassés et «malus» environnemental renforcé pour les rendre moins attractifs : L'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité des mesures visant à freiner la fast fashion, ce jeudi 14 mars. La proposition de loi, adoptée en première lecture, devra désormais être examinée par le Sénat. Elle émane du groupe Horizons, dans le cadre de sa journée réservée au Palais Bourbon.
Malgré des réserves, elle a reçu le soutien de tous les groupes de l'hémicycle. Ce texte fera de la France «le premier pays au monde à légiférer pour limiter les dérives de l'ultra-fast fashion», a salué le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu.
Jusqu’à 10 euros de malus par produit
Dans un contexte de baisse du pouvoir d'achat, la saturation du marché par des vêtements peu coûteux, constamment renouvelés et massivement importés, a ébranlé le secteur, où les fermetures de magasins et les redressements judiciaires se multiplient. Mais c'est l'angle environnemental que met en avant le texte porté par la députée Horizons Anne-Cécile Violland : «L'industrie textile est la plus polluante, elle représente 10% des émissions de gaz à effet de serre», a-t-elle souligné, mentionnant aussi la pollution des eaux.
La proposition de loi donne une définition de la «fast fashion», avec des critères basés sur les volumes produits et la vitesse de renouvellement des collections. Mais elle renvoie à des décrets pour fixer des seuils chiffrés. Dans le viseur : des pratiques de production intensive poussées à leur paroxysme par l'emblématique entreprise chinoise Shein et ses «7200 nouveaux modèles de vêtements par jour» en moyenne. Les entreprises visées auraient l'obligation de sensibiliser les consommateurs «à l'impact environnemental» de leurs produits.
La mesure principale est le renforcement du système de «bonus-malus» dans le secteur textile, pour tenir compte des «coûts environnementaux» d'une production excessive. La pénalité serait liée à «l'affichage environnemental» des produits, une nouvelle méthode de notation devant être mise en œuvre. Son montant, à fixer par décret, pourrait atteindre progressivement jusqu'à 10 euros par produit en 2030, avec un plafond de 50% du prix de vente. Un amendement a prévu des paliers pour atteindre ces 10 euros, notamment un premier à 5 euros en 2025.
«Il ne s'agit pas d'une taxe», a insisté Anne-Cécile Violland, les contributions devant être redistribuées en faveur des producteurs de vêtements durables, dans l'objectif que leurs prix baissent.
Publicité interdite pour la fast fashion
L'autre mesure phare est l'«interdiction de la publicité pour les produits et entreprises» relevant de la définition de la «fast fashion», coutumières d'un marketing agressif. Cette disposition était soutenue par tous les groupes, sauf Les Républicains (LR). «Si vous interdisez la publicité sur le textile, en particulier la mode, vous n'avez plus de mode», a estimé le député LR Antoine Vermorel-Marques.
Insoumis, écologistes et socialistes ont plaidé - en vain - pour fixer des pénalités minimales et des quotas d'importation, ainsi que pour imposer des critères de respect des droits sociaux dans l'industrie textile. Ils ont aussi échoué à faire figurer dans la loi les seuils chiffrés définissant la «mode express», comme le demandait aussi LR. «Le diable est dans les décrets», s'est inquiétée la députée LFI Alma Dufour, craignant que le ministère de l'Economie ne réduise l'ambition du texte par la voie réglementaire. Elle a en revanche salué un amendement gouvernemental permettant d'intégrer les plateformes de vente en ligne («marketplace»).
La coalition d'ONG «Stop Fast Fashion» avait appelé les parlementaires à prévoir des seuils permettant de «ne pas pénaliser uniquement Shein ou Temu», estimant que «des marques comme Zara, Primark, H&M ou Action» doivent aussi être visées.
Pour Shein, ce texte «pénalise de manière disproportionnée les consommateurs les plus attentifs aux coûts». Selon une porte-parole, le nombre de références «n'est pas un indicateur pertinent» pour définir la «fast fashion», plutôt liée selon la marque à l'ampleur des invendus. L'Alliance du Commerce, qui fédère des grands magasins, a, elle, exprimé des réserves sur le fait de baser le «malus» sur «l'affichage environnemental». Son directeur général, Yohann Petiot a dit craindre que le texte «rate sa cible» en impactant des entreprises nationales plutôt que «l'ultra fast fashion».
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De la merde en tube, cette boite qui pollue la planète avec sa fast fashion. Chaque vêtement devraient être taxé de 5 à &à euros pour financer le recyclage de ces vêtements de faible qualité .
Mêmes les pays pauvres n'en veulent plus… Suffit de voir les décharges immondes qui s'étendent dans certaines capitales de pays africains et souillent les eaux des fleuves…
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Shein est contraint de revoir ses ambitions à la baisse. Le géant chinois de la fast fashion fait face à une pression croissante de la part de ses actionnaires pour ajuster sa valorisation à environ 30 milliards de dollars avant son introduction en Bourse à Londres, selon des informations de Bloomberg. Ce montant est trois fois inférieur à celui envisagé initialement, marquant un net recul pour l’entreprise spécialisée dans la mode à bas coût.
D’après Bloomberg, plusieurs actionnaires estiment qu’une telle réduction de valorisation est nécessaire pour que l’IPO (offre publique initiale) puisse aboutir sur le marché londonien. À l’origine, Shein espérait une valorisation bien plus élevée, atteignant 66 milliards de dollars lors de sa dernière levée de fonds en 2023. Mais en début d’année, Reuters avait déjà évoqué un ajustement à 50 milliards de dollars, soit une réduction de 25 %. Désormais, l’objectif semble encore plus modeste.
Cette IPO, prévue pour le premier semestre 2025, dépend encore de plusieurs approbations réglementaires au Royaume-Uni et en Chine, ce qui pourrait encore retarder l’opération.
Au-delà de la pression des actionnaires, Shein doit faire face à un autre défi de taille : la fin de l’exemption "de minimis" aux États-Unis, annoncée par Donald Trump. Cette réglementation, qui permettait jusqu’ici aux entreprises chinoises d’expédier des colis de faible valeur sans payer de droits de douane, a été un levier crucial dans le développement international de Shein et son principal rival Temu (groupe PDD).
La décision de la Maison Blanche pourrait avoir un impact direct sur le modèle économique de Shein aux États-Unis, son premier marché. L’entreprise devra ainsi revoir sa stratégie, notamment en matière de logistique et de pricing, pour rester compétitive face aux géants du e-commerce comme Amazon.
Malgré ces turbulences, Shein reste un acteur majeur de la mode en ligne, ayant conquis des millions de clients à travers le monde grâce à son catalogue ultra-diversifié et ses prix défiant toute concurrence. Mais cette baisse de valorisation soulève des questions : les investisseurs croient-ils encore en la capacité de Shein à maintenir sa croissance et à s’adapter aux nouvelles contraintes géopolitiques ?
Alors que la firme ambitionne de réussir son entrée en Bourse à Londres, elle devra rassurer les marchés sur sa rentabilité à long terme et sa capacité à faire face à une réglementation de plus en plus stricte sur ses principaux marchés.
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