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bin oui, une vraie catastrophe : une boite qui s'est plantée elle même avec ses choix bobo woke lgbt +++ etc etc, une propagande débile et dingue et qui a totalement pris ses clients pour des ânes
voilà le résultat et amha c'est pas fini vu le dégât image énorme maintenant et le retard pris sur les chinois et les jap' dans le secteur
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Quand t'es débilement tombé dans le wokisme le plus dingue et que plus personne n'achète tes jeux faut pas s'étonner ! Les boites woke c'est une cata totale et eux ils se sont flingués tout seuls par bêtise !
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Ubisoft est en pleine tourmente. Alors que le géant du jeu vidéo traverse l’une des périodes les plus délicates de son histoire, plusieurs indices laissent penser qu’une transformation radicale est imminente. Recrutement de conseillers stratégiques, révision des objectifs financiers, retards dans les sorties de jeux : où va Ubisoft ?
Depuis plusieurs mois, Ubisoft a lancé un vaste chantier de révision stratégique pour tenter de redresser ses performances. Sous la houlette de son PDG Yves Guillemot, l’entreprise a fait appel à des conseillers de renom pour explorer toutes les options possibles.
Lors d’une récente conférence, Guillemot a expliqué que l’objectif principal était de maximiser la valeur de l’entreprise tout en renforçant son efficacité opérationnelle. "Il y a plusieurs chemins possibles pour Ubisoft, mais nous communiquerons en temps voulu", a-t-il affirmé, tout en refusant de commenter les rumeurs persistantes autour d’un potentiel rachat par Tencent, déjà partenaire stratégique de longue date.
La pression est d’autant plus forte que les récents résultats financiers ne sont pas à la hauteur des attentes. Jeudi, Ubisoft a annoncé une révision à la baisse de ses objectifs pour le troisième trimestre. Les réservations nettes ("net bookings") sont désormais estimées à 300 millions d’euros, contre une prévision initiale de 380 millions. Pour l’exercice 2024-2025, les prévisions ont également été revues à la baisse, avec un chiffre attendu à 1,9 milliard d’euros au lieu des 1,95 milliard annoncés précédemment.
Conséquence directe : le titre Ubisoft a chuté de 7,6 % vendredi matin à la Bourse de Paris, atteignant son plus bas niveau en trois mois. Les analystes de JPMorgan, pessimistes, ont abaissé leur objectif de cours sur l’action de 11 à 10 euros, estimant que les ventes du prochain opus de la franchise Assassin’s Creed Shadows pourraient ne rapporter que 200 millions d’euros au quatrième trimestre, loin des 350 millions initialement prévus.
L’un des projets phares d’Ubisoft, Assassin’s Creed Shadows, n’échappe pas à la crise. Initialement prévu pour une sortie plus tôt, le jeu a été reporté au 20 mars 2025. Yves Guillemot a justifié ce délai par la volonté de garantir une qualité optimale dès le lancement, mais ce report a ravivé les inquiétudes des analystes.
Pour Morningstar, ce nouveau report reflète des "problèmes fondamentaux plus importants" au sein de l’entreprise. Dans ce contexte, plusieurs experts s’interrogent sur l’avenir de l’éditeur. Si des discussions autour d’un rachat sont évoquées, certains estiment que les potentiels acheteurs pourraient attendre que la situation empire davantage avant d’agir.
L’avenir d’Ubisoft reste donc incertain. Si l’entreprise affirme vouloir transformer son modèle pour offrir des expériences de jeu encore plus marquantes, les défis financiers et organisationnels s’accumulent. Le marché reste suspendu aux prochaines annonces de l’entreprise, notamment concernant l’éventualité d’un rachat ou d’autres décisions stratégiques majeures.
L'action de l'éditeur de jeux vidéos chute de plus de 7% ce vendredi à 11,48 euros.
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