Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Société | Historiques | Vie du titre | Secteur | Forum |
Un actionnaire a soulevé le sujet lors de l'AG, M.Mustier a répondu.
https://agm-2024.aio-events.com/241/page/replay
Le passage est à 2h16mn36s
Répondre
|
La suite (après restructuration) dépend des perspectives économiques.
L'objet de mon post était principalement d'apporter des éclaircissements sur ce qui a été considéré ici comme une situation inédite, alors qu'elle ne l'est pas.
La règlementation boursière autorise une vente à découvert sans emprunt de titres dès lors que l'on peut prouver qu'on pourra livrer les actions J+2 après la négociation (date réglementaire de règlement-livraison).
Lorsqu'un intermédiaire financier reçoit un ordre de vente ou d'achat de x actions Atos le 6/12, il ne nous demande pas si on veut acheter ou vendre des "nouvelles ou anciennes", puisqu'elles sont/seront cotées sous le même code ISN.
Dans le cas des sociétés qui recourent au financement pas OCAs, la plupart du temps les gros volumes de ventes interviennent lors des 2 séances de bourse précédent la date d'admission sur Euronext.
Les particuliers et les pro qui ont souscrit à l'AK d'Atos ont tous été "livrés" le 10. La différence, c'est que les particuliers ne peuvent vendre à découvert que des titres qu'ils ont empruntés par l'intermédiaire de leur broker, alors que les pro ont accès à d'autres plateformes de négociation, qui ne nécessitent pas d'avoir emprunté les titres.
Répondre
|
ca vaut un like ! tres intéressant et la suite ca a donné quoi sur Orpea ?
Répondre
|
Il s'est passé exactement la même chose sur Orpea à J-2 du règlement-livraison :
Même chose également concernant le cours artificiellement élevé quelques jours avant la dégringolade :
https://www.agefi.fr/news/entreprises/pourquoi-le-prix-de-laction-orpea-est-artificiellement-eleve
Répondre
|