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Thierry Garnier, directeur général de Kingfisher, quelques semaines après la publication des résultats annuels de son groupe, a accordé une interview exclusive à LSA pour évoquer les enjeux forts de son secteur, son avenir.
À l’entendre, les perspectives restent bonnes avec au moins cinq pistes de croissance prioritaires identifiées lors de cet entretien.
Message complété le 30/04/2024 09:43:49 par son auteur.
Après les années Covid, favorables au marché du bricolage et de l’aménagement de la maison, les temps sont devenus plus durs aujourd’hui. Ainsi, en France, les ventes du secteur ont reculé d’environ 4 % en 2023, pour s’établir aux alentours de 35 milliards d’euros. Kingfisher France fait un peu moins bien (- 5,8 %), mais les perspectives restent bonnes. L’attrait pour son chez-soi demeure solidement ancré dans les esprits et, couplé aux enjeux liés à la rénovation des bâtiments, pour faire face au réchauffement climatique, cela laisse augurer de belles dynamiques… à condition de savoir manier les nouveaux outils et services de demain.
Thierry Garnier, directeur général de Kingfisher, apporte en exclusivité pour LSA son regard d’expert sur les cinq axes de croissance qui attendent son groupe dans les années à venir. La clé, toujours, est de savoir garder en tête l’intérêt du client… mais tout en étant ouvert à tout le reste, ce champ des possibles colossal représenté, par exemple, par l’intelligence artificielle et les nouvelles technologies. Chez Kingfisher, le Capex tourne aux alentours des 363 millions de livres sterling, dont un tiers est investi sur les outils technologiques.
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