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Econocom : communiqués de presse
publié le 23-05-2024
Jean-Louis Bouchard, Président fondateur d’Econocom, précise sa décision de participer au projet de consortium pour la reprise d’ATOS.
Il estime la démarche de David Layani ambitieuse, courageuse et guidée par une bonne connaissance d’Atos et des services informatiques. Éléments qui, selon lui, ont manqué depuis le départ de Thierry Breton.
Jean-Louis Bouchard accomplit un geste de solidarité et de protection des activités réciproques liant Econocom et Atos depuis plusieurs années.
À la fois concurrents et associés, comme souvent dans le monde des services informatiques ou encore de la finance, Atos et Econocom travaillent ensemble depuis plus de 40 ans.
À l’époque où Atos s’appelait encore SLIGOS et gérait les services naissant de carte bleue pour un consortium de banques, Econocom fournissait et louait des ordinateurs IBM d’occasion.
Aujourd’hui encore, Atos et Econocom répondent en partenariat aux appels d’offres importants des domaines de l’infogérance (Tech Foundation) et du financement d’équipements (Bull en majorité).
Econocom apporte son expertise reconnue sur la Workplace quand Atos apporte celle de l’infogérance système.
Au travers de cette démarche, Econocom entend faire bénéficier le consortium de sa relation de confiance avec les banquiers corporate et les refinanceurs.
Cette confiance est acquise de longue date dans son métier de location-financement ainsi qu’au travers de son expérience opérationnelle particulièrement en Europe (la société réalise en dehors de France plus de 50% de son chiffre d’affaires de 3md€).
La politique de gestion prudente d’Econocom et la revente en temps utile d’entités non stratégiques ont permis le développement d’une activité performante et profitable. Sa réelle maitrise de l’endettement bancaire est un atout qui peut servir les intérêts d’un tel redressement et dont Jean-Louis Bouchard propose la mise disposition immédiate, si les conditions sont réunies.
Communiqué publié
sur le site Econocom
Et sur Actusnews Wire
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Econocom rejoint David Layani :
"Je suis ravi de rejoindre le consortium formé par Onepoint et Butler Industries pour soutenir le sauvetage de ce fleuron technologique français qu’est Atos ", a déclaré Jean-Louis Bouchard, PDG d’Econocom.
"Econocom a un partenariat historique avec Atos, qui n’a cessé de se renforcer à travers les années. Il est de notre devoir de protéger et de reconduire ce partenariat en soutenant le seul projet industriel crédible qui garantisse l’intégrité et la pérennité du groupe, celui emmené par Onepoint, avec qui nous partageons la même audace et les mêmes valeurs entrepreneuriales ", a-t-il précisé.
Econocom rappelle avoir développé de nombreux projets communs de co-traitance dans l’infogérance avec Atos et même établi une joint-venture en 2022. Pour mémoire, il avait aussi cédé sa filiale Digital.Security à Atos en 2020.
Des liens unissent aussi Econocom à Butler Industries, la société d’investissement fondée par Walter Butler. En 2013, Econocom avait racheté la société Osiatis détenue par Walter Butler.
Le soutien d’Econocom, un groupe de plus de 8.000 collaborateurs et qui a réalisé 2,6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023, peut contribuer à rééquilibrer l’offre de Onepoint, dont le plan propose d’apporter 1,8 Md€ dont 350 M€ de fonds propres à Atos. "
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Et bien selon d'autres sources la BNP ne voudrait pas de l'offre de David Layani (Onepoint) qui tout en paraissant au départ plus intéressante que celle de Kretinsky pourrait simplement aboutir à un nouveau naufrage dans les deux ans qui arrivent.
C'est un amas de dettes dont personne ne voit comment limiter la casse !!! Les reventes par morceaux des activités rentables n'ont malheureusement pas encore été sérieusement traitées par les nombreux dirigeants qui viennent de se succéder. La Chargée d'aide au sauvetage récemment nommée ne semble pas avoir non plus beaucoup pu avancer vers une solution permettant de sauvegarder au moins tout ce qui peut l'être.
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Les créanciers ne veulent pas de KRETINSKY !
Tant mieux pour la société Atos et pour les actionnaires !
Atos : les créanciers obligataires préviennent l'Etat qu'ils ne veulent pas de l'offre de reprise de Daniel Kretinsky
Exclusif - Selon nos informations, les créanciers obligataires ont envoyé un courrier à Bercy, Atos et à l'administratrice judiciaire, Hélène Bourbouloux indiquant qu'ils rejetaient l'offre du milliardaire tchèque Daniel Kretinsky.
Article disponible sur LA TRIBUNE
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Pas dit que les actionnaires s'en sortent bien. On va voir le plan qui sera retenu et la conversion dette->capital qui sera cruciale. Ca risque de bouger fort demain, très difficile de se faire une idée ... je suis out
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Ça risque d’être agité demain
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" Les hostilités sont lancées. Ce dimanche soir, 48 heures après la date butoir imposée aux prétendants d'Atos pour remettre leurs propositions, un conseil d'administration de l'ex fleuron informatique est convoqué pour une réunion cruciale pour l'avenir du groupe de 95.000 salariés.
Selon nos informations, le groupe de services informatiques a sur la table trois offres de reprise industrielle en plus du sauvetage financier mis sur pied par les créanciers. "
Publié le 5 mai, par Les Echos
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Article publié hier soir, par La Tribune :
" Journée cruciale pour Atos. Alors que les candidats à la reprise groupe informatique français en grande difficulté financière avaient jusqu’à ce soir pour déposer leur offre, une autre partie, décisive pour le sauvetage d’Atos, se jouait également ce vendredi du côté des créanciers.
Des acteurs clés dans la mesure où, dans le cas d’une entreprise en procédure de sauvegarde accélérée, ils disposent d’un droit de veto sur l’option retenue pour le sauvetage d’Atos. « Ce sont eux qui mènent la danse », confie un proche du dossier.
Atos sauvé ?
Et une bonne nouvelle se dessinait ce vendredi soir. Selon nos informations, les créanciers obligataires et les banques qui se partagent la dette de 5 milliards d’euros d’Atos, avaient trouvé un accord oral pour afficher une position commune. A savoir qu’ils apportent leur soutien à Atos en finançant l’entreprise avec de la « new money », idéalement avec un actionnaire industriel, mais aussi qu’ils sont prêts de convertir une partie de la dette en capital. Un accord dans la douleur qui pousse certains à affirmer qu’Atos est sauvé.
Les créanciers ont une idée très précise du profil de repreneur qu’ils souhaitent pour relancer Atos : « Ils souhaitent un industriel qui apporte son savoir-faire pour redresser rapidement Atos et redonner confiance aux clients, explique un connaisseur du dossier. Mais qui conserve aussi l’ensemble du périmètre du groupe à l’exception des activités souveraines que va reprendre l’Etat, car ils estiment que c’est le meilleur moyen de créer de la valeur ».
Négociations à venir avec les candidats
En ayant une position commune, les créanciers veulent obliger les candidats à s’aligner sur leur stratégie. Pas besoin de convaincre Onepoint. Dirigé par David Layani, la société déjà actionnaire d’Atos à hauteur de 11% correspond au profil recherché. Il s’est en effet engagé à conserver le périmètre du groupe.
Et, alors que sa surface financière est moins élevée que celle de Daniel Kretinsky, lequel devait déposer une offre selon BFM Business après avoir renoncé en début d’année à racheter la branche Techfoundations, le président de Onepoint a sécurisé les fonds qu’il entend investir dans Atos, et les a confirmés à l’Etat et aux créanciers. Sur le plan opérationnel, le dispositif à déployer dès la reprise est finalisé. Une troisième offre émanant cette fois de l’entreprise américaine Bain, actionnaire du groupe français de services informatiques Inetum (anciennement GFI Informatique), était sur le point d’être présentée, selon les Echos.
Des négociations vont débuter rapidement pour fixer les montants et les conditions de l’apport en capital à court et moyen terme, mais aussi sur la répartition de la dette qui sera convertie en actions et celle qui sera maintenue.
Le tout définira la future structure actionnariale du groupe. "
Et voici un nouvel article, tout fraîchement publié, ce jour par : Les Echos !
"Coup de théâtre chez Atos : les créanciers prêts à financer la totalité du sauvetage.
Tard vendredi soir, les hedge funds, les banques et les obligataires qui portent les 4,8 milliards d'euros de dette ont signé un accord inédit pour assurer tous les besoins de financement du géant en déroute. Seule condition : ne pas découper Atos. Une nouvelle donne pour David Layani, Daniel Kretinsky et Bain, dont les offres étaient attendues vendredi. "
Message complété le 04/05/2024 11:12:06 par son auteur.
« Le groupe n'a plus de problème de financement, nous sommes prêts à financer toutes les offres de reprise intégrales qui se présentent », témoigne-t-on dans les rangs des créanciers.
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de toutes façons il fallait bien une réaction à un moment ou à un autre
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À la manœuvre, l’Agence des participations de l’État (APE) qui a ciblé trois activités. D’abord, la division « advanced computing », spécialisée dans les supercalculateurs servant notamment à la dissuasion nucléaire et les serveurs participant au développement d’Atos dans l’intelligence artificielle et le quantique. Ensuite, les « mission critical systems », c’est-à-dire les systèmes de communication et informatiques notamment utilisés par l’armée. Et enfin, la partie « cyber products ». Ces entités représentent moins de 10 % du périmètre du groupe, avec un chiffre d’affaires de 900 millions d’euros et quelque 4 000 salariés, très majoritairement basés en France.
L’objectif est d’être en mesure de faire une offre début juin », précise-t-on au cabinet du ministre de l’Économie. D’ici là, l’APE va affiner la valorisation de ces activités et s’attacher à construire un consortium. Car Bruno Le Maire a prévenu : « Je souhaite que l’État ne soit pas seul », citant l’exemple de l’actionnariat du constructeur de navires de défense Naval Group ou du spécialiste des réacteurs nucléaires Technic-Atome. Avant de dresser le portrait-robot de potentiels partenaires : « Des actionnaires uniquement français qui travaillent dans les domaines stratégiques de la défense de l’aéronautique. »
L’État n’a pas de compétence particulière en la matière, décrypte-t-on au cabinet de Bruno Le Maire. On crée une communauté d’intérêts. » L’entourage du ministre de l’Économie se refuse toutefois à préciser si la puissance publique a vocation ou non à être majoritaire au sein du consortium. Le positionnement de l’État sur ces trois activités stratégiques va en tout cas permettre aux potentiels repreneurs de se positionner dans les semaines à venir sur les autres pans d’un groupe qui compte 110 000 salariés à travers le monde, dont 11 000 dans l’Hexagone.
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L'Etat bouge. Bruno Le Maire a fait une proposition à Atos.
C'est l'agence de participation de L'Etat qui est chargé des négociations. D'autres actionnaires seront également sur le dossier.
L'Agence des participations de l'État (APE) incarne l’État actionnaire, investisseur en fonds propres dans des entreprises jugées stratégiques par l’État, pour stabiliser leur capital ou les accompagner dans leur développement ou leur transformation.
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Information capitale pour l'avenir de la société Atos :
"David Layani, à la tête de Onepoint, premier actionnaire d’Atos à hauteur de 11,4%, avait dévoilé il y a quelques semaines son projet consistant à conserver tous les actifs du groupe, retrouver une trajectoire de croissance et assurer la restructuration de la dette.
«Si cette opération aboutit, elle permettra de sauver un fleuron technologique et de consolider son rôle d’acteur majeur sur le plan mondial», a déclaré l’homme d’affaires Walter Butler, patron de Butler Industries, cité dans un communiqué dévoilant son ralliement à ce plan.
Dans un communiqué distinct, M. Layani s’est félicité de cette annonce, estimant qu’elle «vient renforcer (son) projet OneAtos», qui doit être présenté au conseil d’administration d’Atos avant fin avril. "
Source : Articles du jour
Le Revenu
Et
Les Echos
Walter Butler s'invite dans le dossier Atos
Le financier Walter Butler est prêt à épauler David Layani
Butler Industries, qui gère plus de 8 milliards d’euros d’actifs, a mené plusieurs restructurations d’entreprises et possède des participations dans des sociétés du secteur de la défense, de la gestion d’épargne et de l’agroalimentaire.
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Paris, France – 27 mars 2024 –
"Eviden, la ligne d’activités d’Atos leader dans le digital, le cloud, le big data et la sécurité, annonce aujourd'hui l'ouverture de son nouveau centre d'opérations de sécurité (SOC) à Monterrey, au Mexique, afin de fournir des services de cybersécurité avancés aux entreprises d'Amérique du Nord et du Sud. 17ème SOC de nouvelle génération d'Eviden dans le monde, le centre de Mexico renforce ainsi son puissant réseau mondial de SOC.
Les cyberattaques qui affectent l'environnement commercial actuel sont en augmentation et deviennent de plus en plus sophistiquées. Les centres d'opérations de sécurité d'Eviden constituent un facteur clé de différenciation dans la gestion des risques d'entreprise en transformant les environnements de sécurité hautement cloisonnés en champs d’opérations holistiques et avancées. "
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« Merci pour l'info sur 10 jours ça a l'air de vouloir continuer de monter »
Sur 10 jours, ça ne monte pas vraiment … 🤔
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Par contre la vente a découvert est toujours à 17.75
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Merci pour l'info sur 10 jours ça a l'air de vouloir continuer de monter
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Nouveau contrat Atos - Eviden -
" LA DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ARMEMENT CHOISIT EVIDEN POUR L’INDUSTRIALISATION DU SYSTÈME DE GÉOLOCALISATION DES VÉHICULES TACTIQUES DE L’ARMÉE DE TERRE
LA NOUVELLE SOLUTION DE GÉOLOCALISATION ÉQUIPERA L’ENSEMBLE DES VÉHICULES DE DÉFENSE DE L’ARMÉE DE TERRE D’ICI 2024 "
« Nous sommes fiers de contribuer à l’implémentation du nouveau système de géolocalisation des véhicules de défense de l’armée française et de soutenir l’innovation au service de nos forces armées, » précise Bernard PAYER, SVP, Eviden, Missions Critiques et Défense, Eviden, groupe Atos.
« P3TS permet de limiter les tirs fratricides et d’optimiser la coordination des opérations tactiques, et nous mettons notre savoir-faire au service de son industrialisation et des développements liés à celle-ci, afin que la solution profite rapidement à l’ensemble des régiments de l’armée de Terre ».
Communiqué complet à lire sur le site Eviden
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Gagner à l’achat avec Atos mérite bien un cierge. Un gros 😊
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Coup de bol.
J'ai pu profiter de l'augmentation de ce matin.
J'ai acheté à 2.43€ et j'ai revendu dans la foulée à 2.63€
Je vais aller mettre un cierge.
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Bonne nouvelle pour Atos. Un tribunal de New York a décidé d'annuler environ 202 millions de dollars de dommages et intérêts dus par Syntel à TriZetto et Cognizant Technology Solutions, rapporte 'Bloomberg'. En octobre 2020, un jury avait déclaré Syntel responsable de détournement de secrets commerciaux et de violation de droits d'auteur, et accordé à Cognizant et TriZetto environ 855 millions de dollars de dommages et intérêts. Un montant ramené à 570 M$ par la justice américaine en avril 2021 à la suite d'un appel de Synel.
Tout au long du procès et dans sa requête contestant le verdict, Syntel a maintenu que Cognizant et TriZetto n'avaient pas démontré le détournement de secrets commerciaux et que leurs théories de dommages n'étaient pas conformes au droit applicable. En outre, Atos considérait que le montant des dommages-intérêts était totalement disproportionné par rapport aux actes reprochés.
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