Alstom plonge en Bourse après un avertissement sur sa trésorerie

c'est devenu une valeur à haut risques

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@BerMer Je réagis à la lecture de cet article d'actualités, tout simplement. Quel texte suis-je donc censé reproduire ou citer si ce n'est cet article ? Et oui, je m'intéresse à Alstom et déplore la casse et la braderie de cet outil industriel, comme de bien d'autres. Celà fait plus de 30 ans que la France est pillée (merci du rappel, Tradingi) et ce n'est pas terminé. Après De Gaulle, tous les Présidents, Sarkozy et Macron ne sont pas les moindres, se sont déculottés ou faits les entremetteurs, voire les mères maquerelles du Grand Capital. Quant à ma remarque sur les commandes, libre à vous de la reprendre à votre compte, j'en cède le copyright. J'ai vécu l'attentisme et l'inertie du monde occidental en 1991 face à la 1ère guerre du Golfe : tergiversations, reports des investissements par les Etats, braderie des équipements de l'Union soviétique et montée des mafias qui se sont accaparées des pans entiers de l'économie civile et militaire, et pas seulement à l'Est. La gangrène mine le monde de la finance et tout le monde se bouche le nez.

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Bonjour,

@Coleus

- Pensez-vous que la file que vous venez d'ouvrir est vraiment utile ? (vous êtes pourtant généralement assez économe de vos commentaires)
- Pensez-vous que tous ceux qui s'intéressent à ALSTOM n'avaient pas déjà lu le texte que vous reproduisez dans votre file, entièrement tiré des actualités ABCBOURSE ?
- Ne pensez-vous pas que votre remarque sur les commandes passées par les grands donneurs d'ordres industriels, qui n'est pas dénuée de sens, aurait pu figurer dans une file déjà ouverte ?

Cordialement

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bravo au fait pour la vente des turbines de Macron aux US et à GE pour un plat de lentilles....

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Une douche plutôt fraîche, dans quelle mesure peut-on penser qu'ALO ne fait que précéder ses confrères industriels ? En analysant ces facteurs (sic !), il apparait de facto que ses clients, des gros parmi les gros, freinent des quatre fers dans leurs intentions de commande. L'insdustrie lourde se prépare des jours difficiles

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L'action du constructeur ferroviaire français Alstom est en chute de plus de 35% autour de 13,9 euros ce jeudi 5 octobre, après qu'il a annoncé que son flux de trésorerie disponible serait négatif pour l'ensemble de l'exercice.

Alstom a enregistré un flux de trésorerie disponible négatif de 1,15 milliard d'euros au premier semestre de son exercice décalé 2023-2024. Le groupe prévoit désormais que cet indicateur clé de trésorerie ressortira entre -500 et -750 millions d'euros sur l'exercice.

Cette baisse est due à trois facteurs principaux :

• Une augmentation des stocks liée à la montée en cadence de la production d'Alstom. Cette hausse des stocks devrait être résorbée dans les années à venir.
• Un retard dans la finalisation du programme Aventra de 443 trains destiné au Royaume-Uni. Cette finalisation est désormais prévue au début de l'exercice fiscal 2024-2025.
• Des décalages de programmes qui ont conduit à une baisse du niveau d'avances reçues lors de la signature des contrats.

Alstom dispose toutefois de 3,5 milliards d'euros de liquidités, ce qui lui permet de faire face à ses obligations financières.

L'avertissement d'Alstom est une mauvaise nouvelle pour le groupe, qui a déjà été confronté à des difficultés financières ces dernières années. La baisse du flux de trésorerie disponible est un indicateur négatif de la santé financière d'une entreprise. Elle peut entraîner des difficultés à financer son activité, à investir ou à rembourser sa dette.

Alstom a indiqué qu'elle s'attend à ce que le flux de trésorerie disponible soit positif au second semestre de l'exercice. Cependant, cette amélioration ne suffira pas à compenser la baisse attendue sur l'ensemble de l'exercice.

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